• Le contrôle mental basé sur les traumatismes est la pierre angulaire des abus rituels "initiatiques", visant à provoquer de profonds états dissociatifs chez les petites victimes. Le contrôle mental de ce type est le point central sur lequel repose le contrôle de la société, et l'axe principal de cet outil est le trouble dissociatif de l'identité.

    Lors de son récent passage sur MetaTV, Stan Maillaud a consacré cinq minutes pour décrire ce système de MK qui est la Boîte de Pandore des cultes sataniques et des sociétés secrètes lucifériennes.

    Un point essentiel pour "Comprendre l'Empire".....

     

    ➤➤➤ Extraits du livre de Stan Maillaud "Le protocole des ignobles en robes noires" : La reproduction des criminels pédophiles...génération après génération"

    ➤➤➤ La personnalité fractionnée du témoin X1: Régina Louf

    ➤➤➤ Nos Élites sous "Mind-Control" ? Programmation dès la petite enfance


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  • ➤ Archive: Interview de Karen Mulder "C'est leur destin" - M6Retranscription de "C'est leur destin" - 20 septembre 2002, M6

    Une vidéo introuvable sur le web.

    Affaire Karen Mulder - Interview VSD Janvier 2002

    "Karen Mulder – la résurrection du top model"

    PLATEAU

    Benjamin CASTALDI : "I am what I am" est un succès, c'est un triomphe. "Je suis ce que je suis", certainement une chanson qui n'a pas été choisie par hasard. En revanche, vous avez parlé assez peu mais on a beaucoup parlé à votre place. Moi, j'ai vu pas mal de magazines, des séances photos qui n'étaient pas forcément volontaires, beaucoup de choses ont été écrites et dites. Question simple pour commencer : comment allez-vous ?

    Karen MULDER : Je vais très bien (rires), je vais très bien, c'est vrai, j'ai passé des moments très difficiles mais là ça va très bien.

    BC : On a parlé, par exemple, de dépression, oui ou non ?

    KM : C'est à dire la dépression, je dirais plutôt qu'elle était avant, c'est une dépression qui a durée toute ma vie, c'est la raison pourquoi j'aimais tant la vie que je menais, c'était une façon....je me créais un monde qui n'était pas forcément réel et parce que la réalité ne me plaisait pas.

    BC : Quand on a préparé l'émission, on a parlé ensemble du mot destin, et vous m'avez dit ; "Moi, je veux raconter ce qu'évoque pour moi le mot destin". Si vous deviez résumer en quelques mots le destin de Karen Mulder, vous diriez quoi ?

    KM : D’un côté c’est un conte de fée, et d’un autre côté c’est un film d’horreur, un vrai cauchemar. Et quant tout est remonté, il y a des gens qui ont essayé de m’empêcher de parler. On m’a mis dans une clinique pour m’empêcher de parler. J’en suis sortie avec l’aide d’un avocat, c’était tout un truc...

    BC : Tout un binz comme on a dit...

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  • La grande hypocrisie de notre époque, l'ignoble imposture !

    Sur le plateau de Canal +, la psychologue Hélène Romano nous rappelle l'imposture judiciaire du procès d'Outreau visant à discréditer définitivement la parole de l'enfant lorsqu'il dénonce des abus sexuels !

    La protection véritable de l'enfance contre la pédocriminalité isolée ou en réseau n'a jamais été une réelle préoccupation pour nos dirigeants. Quelle est la funeste raison d'un tel laisser-aller au sein de nos institutions ?

    Retour sur le traitement du dossier Zandvoort par nos ministres de la "justice":


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  •  

    Source: The Vigilant Citizen - Traduction: MK-Polis

    Le morceau "Style" de Taylor Swift a pour sujet son ancien amant: Harry Styles.
    Cependant le clip, au travers de la symbolique qu'il véhicule, donne à cette chanson une toute autre signification:
    Il s'agit du trouble dissociatif de l'identité, le résultat ultime du contrôle mental Monarch.

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  • ➤ La nuit où ma copine a oublié qui j'étais...Source: vice.com

    Telle qu'elle y paraît, la situation ne pourrait pas être pire. Un homme a coincé une femme en larmes et terrifiée dans le hall d'entrée d'un immeuble et ne la laissera pas s'en aller. Cet homme, c'est moi. Si une autre personne entrait à cet instant, la femme dirait que je suis pour elle un parfait étranger. Elle affirmerait aussi qu'elle n'a aucune idée de comment elle a atterri là.

    Cette tierce personne déduirait facilement que, selon toute vraisemblance, je l'ai droguée. Si elle avait un peu de décence et d'humanité, elle lui viendrait en aide par n'importe quel moyen. Peut-être qu'elle appelerait la police. Peut-être même qu'elle me casserait la gueule – après tout, à ses yeux, j'étais clairement en train de planifier le viol de cette jeune femme. Il n'y a presque aucune explication dans laquelle je pourrais avoir le bon rôle. Enfin, presque.

    Ma copine était en train de vivre une grave crise de trouble dissociatif de l'identité (TDI) et j'ai prié Dieu pour que personne ne surgisse dans le hall. Heureusement, s'il existe, il m'a écouté.

    Ma copine m'a parlé pour la première fois de sa maladie un matin de Noël, alors que nous étions au lit. À cette époque, notre relation entrait dans son huitième mois. Jusqu'à présent, on avait pu parler à peu près de tout, sauf de ce sujet. Je ne pense pas qu'elle craignait que ça m'effraye, mais elle devait être sûre de pouvoir me faire entièrement confiance avant de m'en parler.

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  • ➤ "Barbe Bleue" et les disparitions d'enfants au XVè siècle - Éliphas LéviExtrait de "Histoire de la magie" - Éliphas Lévi

    Les contes de l'ogre et de Croquemitaine furent réalisés et surpassés par les actions de ce fantastique scélérat, et son histoire est restée dans la mémoire des enfants sous le nom de la Barbe Bleue.
    Gilles de Laval, seigneur de Raiz, avait en effet la barbe si noire, qu'elle semblait être bleue comme on peut le voir par son portrait qui est au musée de Versailles, dans la salle des Maréchaux ; c'était un maréchal de Bretagne, brave parce qu'il était Français, fastueux, parce qu'il était riche, et sorcier parce qu'il était fou.
    Le dérangement des facultés du seigneur de Raiz se manifesta d'abord par une dévotion luxueuse et d'une magnificence outrée. Il ne marchait jamais que précédé de la croix et de la bannière ; ses chapelains étaient couverts d'or et parés comme des prélats ; il avait chez lui tout un collège de petits pages ou d'enfants de choeur toujours richement habillés. Tous les jours un de ces enfants était mandé chez le maréchal, et ses camarades ne le voyaient pas revenir : un nouveau venu remplaçait celui qui était parti et il était sévèrement défendu aux enfants de s'informer du sort de tous ceux qui disparaissaient ainsi et même d'en parler entre eux.

    Le maréchal faisait prendre ces enfants à des parents pauvres, qu'on éblouissait par des promesses, et qui s'engageaient à ne jamais plus s'occuper de leurs enfants, auxquels le seigneur de Raiz assurait, disait-il, un brillant avenir.
    Or, voici ce qui se passait : La dévotion n'était qu'un masque et servait de passeport à des pratiques infâmes.

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