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Les Lignes de Coke "Clinton" (Cathy O'Brien)
Chapitre 14 du livre L'Amérique en pleine Transe-Formation (page 249 à 256)
- Je rencontrai une nouvelle fois Clinton en 1982 à la foire de Comté de Berryville, dans l’Arkansas. Alex Houston y "faisait un spectacle" en raison du proche voisinage du Centre de Traumas Proches de la Mort de la CIA (alias "Camp de Programmation et de Conditionnement des Esclaves") et du point de distribution de drogue qu’était la Villa suisse de Lampe, dans le Missouri. Je venais juste de subir d’intenses traumatismes et programmations physiques et psychiques ; Clinton faisait campagne pour devenir gouverneur et se trouvait en coulisse avec Hillary et Chelsea en attendant de faire un discours. Il se tenait debout dans le soleil de l’après-midi, ayant croisé les bras alors qu’il discutait avec Houston de ce dernier et de "ses gars" (les agents de la CIA) qui s’étaient vus assigner des régions spécifiques dans le double objectif de faire des spectacles et de mener nos opérations "drogue" clandestines et spéciales.
De mon point de vue, ceux qui préparaient activement l’avènement du Nouvel Ordre Mondial à travers le conditionement psychologique des masses, ne faisaient aucune distinction entre les partis démocrate et républicain. Leurs aspirations étaient de dimension internationale, et pas seulement américaines (Le respect de la souveraineté de notre pays n’a pas droit de cité face au Nouvel Ordre Mondial. Le "Président" Clinton n’est pas plus à la tête de notre pays ou loyal vis-à-vis de ce dernier que ne le fut Ronald Reagan, étant donné qu’ils suiv(ai)ent tous deux les directives du Nouvel Ordre Mondial, émises par l’ancien ambassadeur auprès de l’ONU et ex-DIRECTEUR DE LA CIA George Bush). Leurs membres étaient souvent recrutés, entre autres groupes élitistes, au sein du Council on Foreign Relations. À l’instar de George Bush, Bill Clinton était un membre actif du CFR, des Bilderbergers et de la Commission Trilatérale. D’après les nombreuses conversations que j’ai pu surprendre, Clinton était formé et préparé pour occuper la fonction de Président en tant que démocrate, dans l’éventualité où le peuple américain exprimerait quelque découragement vis-à-vis des leaders républicains. Cela fut encore plus évident devant la connaissance étendue que Clinton avait du Nouvel Ordre Mondial et la loyauté qu’il professait vis-à-vis de celui-ci.
Clinton avait bien compris que je venais juste de connaître "l’enfer" à Lampe, ce qui ne parut pas l’affecter le moins du monde alors qu’il se concentrait sur son discours. Il était non seulement parfaitement au courant des tortures liées au contrôle de l’esprit et des activités clandestines criminelles qui se multipliaient dans l’Arkansas et dans l’État voisin du Missouri, mais en plus de cela, il fermait les yeux à leur propos ! Tout comme il n’y a aucune préférence partisane dans cette tentative de dominer le monde, il n’y a pas non plus de véritable prise en considération des États individuels ou des frontières. Je savais d’expérience que les activités clandestines criminelles de Clinton dans l’Arkansas rentraient dans le cadre de celles du centre de Lampe, dans le Missouri, où il traitait régulièrement des affaires en affirmant prendre des "congés" dans les villas de vacances du complexe.
En 1983, Houston m’emmena à Lampe pour mes habituels traumatismes et autres programmations tout en ayant un "spectacle" prévu à l’amphithéâtre. Étaient également prévues des prestations de Lee Greenwood et de l’agent de la CIA, trafiquant d’esclave et chanteur de country music Tommy Overstreet, tous deux amis de Bill Clinton et de George Bush.
Greenwood et Overstreet opéraient tous deux autant dans le complexe de la CIA de Lampe, dans le Missouri, que dans celui du Lac/Mont Shasta de Californie. Clinton y était transporté par hélicoptère à partir de Berryville, dans l’Arkansas, pour les spectacles aussi bien que pour des réunions d’affaires.
Avant que Clinton n’arrive, Greenwood et Houston étaient dans leurs loges en coulisse, sniffant ligne de cocaïne après ligne de cocaïne. Houston, toujours avide de grappiller un penny supplémentaire, tenta de me prostituer à Greenwood : "C’est une véritable artiste, disait Houston, elle prend toutes sortes de positions sexuelles sur commande. Elle est à toi pour un prix modique."
Greenwood se mit à rire et, faisant référence à ma programmation par la NASA de Huntsville, dans l’Alabama, répliqua : "J’ai passé plus de temps à Huntsville qu’elle et je sais parfaitement bien ce qu’elle est et qui elle est – une cadette de l’espace programmée pour le sexe. C’est une version modifiée de Marilyn Monroe."
"Shasta ? dit Greenwood, jetant un regard arrogant à Overstreet et souriant d’un air entendu, tu ne ‘passes pas de temps’ à Shasta, et ce concept-là tu le gardes si t’y arrives. J’ai pas non plus perdu de temps là-bas, si c’est ta prochaine question. J’y vais assez souvent. Assez, en tout cas, pour snober la suggestion de Houston sans problème, et pour prendre ce que je veux, quand je veux et comme je veux."
Greenwood commença à accéder à ma programmation sexuelle en expert tout en disant à la cantonade : "Entrez ou sortez tous comme vous voulez, mais on m’a fait une offre dont je vais profiter." Il m’ordonna de me déshabiller et de me pencher au-dessus du bureau puis il me sodomisa brutalement alors qu’il disait : "N’arrête pas d’imaginer que c’est encore papa."
Quand Greenwood en eut fini avec moi, il reçut l’ordre de se rendre dans la zone de concert de l’amphithéâtre. Pendant l’entracte, je retrouvai Hal Meadows, le directeur de la Villa suisse, Tommy Overstreet et le gouverneur Clinton dans le hall. Clinton portait une casquette avec l’inscription "Diesel Trainer",a dont on m’avait dit d’en faire l’équivalent littéral "these-will-train-her". Perplexe, je regardai sa casquette et demandai : "Vous êtes conducteur ?"
"D’électricité" répondit Clinton en souriant. Overstreet se mit à rire lorsqu’il continua : "En fait, ça veut dire que je surveille le wagon de queue. Comment va le tien ?" Je ne sus plus où me mettre. Greenwood s’était apparemment vanté de m’avoir sodomisée. Tous rirent même encore plus fort lorsque Clinton ajouta : "Il marche toujours, ça j’en suis sûr".
Houston sortit de sa loge pour saluer Clinton : "Salut mon pote" ; et, tendant la main : "’paraît que t’es devenu gouverneur."
"’Paraît que tu dépasses tout le temps sur la ligne continue"b répliqua Clinton, se référant de manière cryptée à la cocaïne, et PAS à la soi-disant routine d’amuseur de Houston. "J’aspire toujours à gagner de nouvelles hauteurs."
"Eh bien entre, l’invita Houston, j’en ai assez (de la cocaïne) pour nous mettre tous en orbite." Je rentrai avec eux dans la loge tandis que Houston disait à Clinton : "J’imagine que t’as plus de limites, étant donné que t’as passé la ligne (de l’État)."
"Quelle ligne ?" fit Clinton, feignant la surprise et l’ignorance. Il jeta un regard à Hal Meadows alors qu’il continuait : "Tu veux dire que j’ai quitté mon Étata ? Vu l’état d’esprita dans lequel je suis, il n’y a plus de frontières." Il se dirigea vers la table et sniffa une ligne de cocaïne. "Je suis venu là pour oublier tout ça. Et ces affaires-là, c’est du pur plaisir."
"Et elle est où, ta jeune épouse ?" Demanda Houston, faisant réfé- rence à Hillary.
"Elle est avec des amis". Clinton renifla plus fort pour faire monter la cocaïne dans ses narines. "Elle s’occupe de ses propres affaires. Je suis juste là pour me détendre, voir le spectacle, peut-être faire une petite partie de chasse (faisant référence au ‘Plus dangereux des jeux’). J’ai un oiseau {bird} (hélicoptère) prêt à me ramener quand j’aurai fini. Hé, en parlant de ‘Byrd’ (faisant un geste dans ma direction), j’ai entendu dire qu’elle avait déménagé pour la grande maison (Maison-Blanche)." Faisant référence à son mentor et ami le sénateur Byrd, il demanda : "Alors, c’est quoi sa fonction {position ds. le txt (N.d.T.}, maintenant ?"
"La même, répondit Houston, probablement comme ça..." Il mima une sodomie avec obscénité et tout le monde rit. "C’est toujours lui qui mène la danse."
Clinton garda les yeux fixés sur le "wagon de queue" de Houston et dit : "Pourquoi tu lui (faisant référence à moi) indiques pas la sortie pour me montrer ça encore une fois ?" Si j’avais à ce moment-là été capable de réfléchir, j’aurais réalisé que Clinton était/est bisexuel. L’expérience personnelle que j’avais de lui sur le plan sexuel était limitée, mais je l’avais vu s’embarquer dans des pratiques homosexuelles lors d’une orgie à la Villa suisse.
Immédiatement après l’incident de la Villa suisse, Houston se fit comme d’habitude prévoir un spectacle à la foire de comté de Berryville, dans l’Arkansas. Houston et moi étions là-bas en train de rendre visite à H. B. Gibson, l’ami de longue date et supporter de Clinton, quand nous l’avons laissé pour assister à une réunion privée dans la demeure de Bill Hall, l’ami bisexuel de Clinton et aussi l’un de ses supporters. On disait que Hall avait fait fortune dans le business des maisons en rondins préfabriquées, et l’une des villas d’hôtes de la Villa suisse qu’occupaient les Clinton avait été conçue sur le modèle de celles-ci. Hillary avait emmené la petite Chelsea à la villa pendant que Clinton et son assistant/garde du corps étaient présents à la réunion. Tommy Overstreet y assistait également, étant donné que tout cela était précisément en lien avec la réunion récente de Lampe. Nous étions tous assis dans le salon de Hall situé en contrebas, sur deux canapés se faisant face autour d’une table basse noire miroitante. Hall avait tiré de nombreuses lignes de cocaïne sur la table et tous ceux qui étaient présents – y compris Bill Clinton – les inhalaient avec des billets de 50 dollars roulés en forme de paille. La conversation passait de la CIA, de la drogue et de la politique à l’amphithéâtre de la Villa suisse et à la country music. À l’époque, une vaste initiative était en cours pour déménager l’industrie de la country music de Nashville, dans le Tennessee, à la région de Lampe (elle s’est depuis littéralement installée dans la ville voisine de Branson) pour être plus à proximité des opérations "cocaïne" de la CIA qui transitaient par cette industrie.
Tommy Overstreet tentait de convaincre Hall, qui connaissait manifestement très bien ces affaires de drogue, de se joindre aux opérations "cocaïne" de haut niveau de la CIA qui finançaient les opérations secrètes. Ils discutaient de la possibilité qu’aurait Hall de transporter de la cocaïne de Berryville, dans l’Arkansas, à Nashville, dans le Tennessee, pour être directement en prise avec le fondement même de ce qui allait bientôt représenter les opérations "cocaïne" les plus importantes et les plus florissantes de la CIA – l’industrie de la country music de Branson, dans le Missouri. En s’engageant maintenant, les contacts et les clients que Hall fournirait pourraient "le soutenir politiquement et financièrement à vie". Overstreet discuta en outre de l’intérêt que pourrait avoir l’utilisation des camions de la propre société de Hall pour transporter la drogue via Atlanta, en Georgie, Louisville, dans le Kentucky et Jacksonville, en Floride, ainsi que par Nashville, dans le Tennessee, et Lampe, dans le Missouri. Si on en croyait les insiders présents à la réunion, les trajets clés de la CIA pour la cocaïne correspondaient à ceux qui avaient été établis pour les camions de Hall. Hall se voyait ainsi offrir la "chance de sa vie", étant donné que son rôle inclurait aussi de blanchir de l’argent par le biais de ses affaires pour financer les opérations clandestines liées aux "budgets opaques". Hall se montrait nerveux et sceptique, tandis que Clinton et Overstreet essayaient d’entretenir une atmosphère "détendue" en blaguant sur le fait que Hall pourrait changer le nom de son entreprise de camionnage en "LIGNES DE COKE ‘CLINTON’".
Hall ne semblait pas convaincu et commença à soulever un certain nombre de questions sur la pérennité d’une telle opération et la façon dont lui-même allait se protéger. Bien que Hall fût parfaitement compétent en termes de business de la cocaïne, il exprima son inquiétude par rapport au fait qu’il trouvait plus facile de faire confiance à ceux qui ne trempaient pas dans ces opérations de la CIA, qu’aux protégés du gouvernement américain qui y prenaient part. Clinton le rassura en lui disant que c’était l’"opération de Reagan", mais Hall s’inquiétait du fait que certaines factions du gouvernement pourraient "y mettre fin comme pour une opération d’infiltration" sans avertissement, en lui laissant littéralement le truc sur les bras. Houston rit et lui fit comprendre que "personne n’allait interrompre ça (le business de la drogue)." Il l’assura du fait que c’était bien trop lucratif et qu’il y "aurait toujours un marché" pour les drogues – un marché contrôlé par les criminels qui mettaient en place leur Nouvel Ordre Mondial.
Clinton approuva ce que Houston disait de la tête et parla avec l’accent de la région : "Résultat des courses, c’est qu’on a le contrôle de c’t’industrie (de la drogue), par conséquent, on a le contrôle sur eux (fournisseurs et acheteurs). Tu contrôles le gars qu’est sous toi et c’est l’Oncle Sam qui t’couvre. Qu’est-ce t’as à perdre ? Y’a pas d’risque. Y’a personne qui va t’mettre dehors à sécher. Et rien à foutre de c’qui s’déverse de ton camion quand y passera (il se mit à rire et sniffa une autre ligne de coke), tu te f’ras ton beurre quand même."
Hall sourit à son ami, ce qui fut apparemment interprété comme un consentement. Clinton se leva en quête de son assistant pour avoir son grand livre comptable. Overstreet commença à sortir ses papiers, et Hall débarrassa soigneusement la table des lignes de coke restantes.
Clinton fit un signe dans ma direction et dit à Houston : "Fous-la dehors."
Houston ne bougea pas et se mit à rire : "C’est un mannequin présidentiel. Elle a gardé des plus grands secrets que les tiens."
Clinton répondit : "Ça m’est égal. Fous-la dehors, putain !"
La femme de Hall me fit sortir et m’enferma dans une chambre à coucher isolée. Après une période de temps indéterminée, je l’entendis téléphoner à Hillary à la villa d’hôtes. Elle me conduisit ensuite en voiture dans la nuit jusqu’en haut de la colline pour que j’y retrouve Hillary. Bien que j’eusse déjà rencontré Hillary auparavant, nous n’avions vraiment pas grand-chose à nous raconter, d’autant plus que j’étais encore hébétée et en transe des suites des tortures subies au Centre de Traumas Proches de la Mort de la CIA de Lampe. Hillary savait que j’étais une esclave à l’esprit sous contrôle et considérait comme Bill Clinton que c’était là quelque chose de "normal" dans la vie politique.
Quand nous arrivâmes, la femme de Hall et moi, Hillary était étendue tout habillée sur le lit et dormait. "Hillary, je t’ai amené quelque chose que tu vas vraiment apprécier. Une sorte de surprise indevinable. Bill l’a fait sortir de la réunion ; je l’ai emmenée dans ma chambre et j’ai fait une découverte intéressante. C’est littéralement une pute à deux visages" (faisant référence à la scarification qui mutilait mon vagin).
"Hmm ?" fit Hillary, ouvrant les yeux et émergeant à grand-peine de son sommeil. "Montre-moi ça." La femme de Hall m’ordonna de retirer mes vêtements pendant que Hillary regardait. "Elle est clean ?" demanda Hillary, sous-entendant l’absence de maladies.
"Bien sûr, elle est à Byrd" répondit l’autre, continuant la conversation comme si je n’étais pas là. "En plus, j’ai entendu Houston dire un truc du genre que c’est un mannequin présidentiel, même si j’ai pas la moindre putain d’idée de ce que ça peut vouloir dire."
"Ça veut dire qu’elle est clean" indiqua prosaïquement Hillary en se levant. J’étais à l’époque incapable de réfléchir valablement à de telles choses, mais je constate rétrospectivement que tous les esclaves "mannequins présidentiels" que je connaissais semblaient être immunisés contre les maladies honteuses. C’était un fait bien connu des cercles dans lesquels j’étais sexuellement exploitée, que les esclaves sexuels de niveau gouvernemental et à l’esprit sous contrôle étaient "clean", au point qu’aucun de mes tortionnaires ne prenait de précautions tel que le port de préservatifs.
La femme de Hall tapota le matelas et m’intima de montrer la mutilation en question. "Dieu !" s’exclama Hillary et elle commença sur-le-champ à me faire un cunnilingus. Manifestement excitée par ce qui avait été gravé dans mon vagin, Hillary se mit debout et s’extirpa rapidement de ses collant en nylon et culotte de matrone. Désinhibée malgré le fait que ce fût ainsi qu’elle avait passé une longue journée sous un soleil de plomb, elle haleta : "Bouffe-moi, oh bon dieu, bouffe-moi tout de suite !" Je n’eus d’autre choix que d’obéir à son ordre, et la femme de Bill Hall ne fit pas le moindre mouvement pour se joindre à ma répugnante tâche. Quand Bill Clinton pénétra dans la pièce, Hillary avait recommencé d’examiner ma hideuse mutilation et me faisait un nouveau cunnilingus. Elle releva la tête pour demander : "Ça a donné quoi ?"
Clinton, qui semblait complètement indifférent à la scène qu’il venait de surprendre, fit gicler sa veste sur une chaise en disant : "C’est officiel. Moi je suis épuisé. Je vais me coucher."
Je me rhabillai comme on me l’avait ordonné, et la femme de Hall me ramena en bas en voiture, à la demeure où Houston était en train de m’attendre. La réunion avait apparemment été un succès. J’ai ces années-là encore assisté à des discussions entre Houston, son agent Reggie McLaughlin, et Ken Riley, le "maître" de Loretta Lynn, concernant le succès que connaissait la branche de Hall pour ce qui était des opérations "cocaïne" de la CIA issues de l’Arkansas. Aucune de ces conversations n’était aussi poignante et révélatrice que celles qu’échangeaient Alex Houston et Boxcar Willie, un artiste de country music et agent dela CIA.
Boxcar Willie fit irruption sur la scène de la country music après une campagne publicitaire faite de spots télévisés dont l’aspect persuasif relevait d’une hypnose high-tech – et dont la stratégie lui attribua du jour au lendemain un statut de phénomène et de "star". Le "Train de la Liberté" de l’industrie de la country music nécessitait un conducteur pour acheminer cette industrie et ses fans vers Branson, dans le Missouri, et c’est à Boxcar Willie qu’on attribua ce poste. Pareil au joueur de flûte d’Hamelin, Boxcar Willie assura brillamment son rôle de transeférer l’industrie en question au proche voisinage des opérations "cocaïne" de la CIA à Lampe.
Boxcar Willie fut l’un des principaux contacts de base que Bill Hall se fit après que Clinton l’eût convaincu de profiter des bénéfices qu’allait générer le transfert de l’industrie de la country music. Au fil des années, Houston et Boxcar Willie discutèrent devant moi des juteuses transactions de Hall pendant qu’ils voyageaient ensemble à travers le pays, étant tous deux à l’affiche dans les mêmes spectacles, y compris ceux programmés à l’amphithéâtre de la Villa suisse. J’étais personnellement très fréquemment en contact avec Boxcar Willie, étant donné que mes virées "cocaïne" à budget gouvernemental coïncidaient souvent avec les siennes et y étaient liées. Mais je ne connus jamais aussi bien Boxcar Willie que ma fille Kelly. Kelly a ainsi désigné Boxcar Willie comme l’un de ses principaux violeurs, et ce, dans trois institutions psychiatriques distinctes en exprimant sa frustration quant aux manquements de la Justice. "Pourquoi c’est moi qu’on enferme alors que mes tortionnaires restent en liberté ?" plaide-t-elle constamment. Je l’assure que je fais tout ce que je peux pour rameuter les foules à son intention concernant Boxcar Willie, et pour dénoncer le rôle de ce dernier dans le transfert de l’industrie de la country music au proche voisinage des opérations "cocaïne" de la CIA de Lampe, dans le Missouri, dont Bill Clinton venait de nous donner un aperçu.