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Abus rituels - Trouble Dissociatif de l'Identité - Mk Ultra Site consacré à l'étude de la programmation mentale par les sectes pratiquant les abus rituels traumatiques sur les enfants

Syndrome d'aliénation parentale

 

 

http://mk-polis2.eklablog.com/retour-sur-le-pseudo-syndrome-d-alienation-parentale-sap-a126845050

 

 

 

Diffusez autour de vous les informations que vous trouverez ici.
Il est capital d'ouvrir une brèche dans le discours de promotion de ces personnages et de ses théories qui font la promotion de la sexualité pédophile.
Tous ceux qui reprennent à leur compte les discours et les théories de Gardner, Underwager, etc... doivent savoir ce qu'ils font et de quel côté ils se placent.
Tous ceux qui tentent d'introduire en justice ce genre de théories doivent savoir d'où elles proviennent, et, lorsqu'ils en seront informés, doivent cesser de promouvoir des théories aussi douteuses et aussi coupablement proche des milieux pédophiles.

 

Le "Syndrome d'aliénation parentale"
Théorie inventé par le pédophile Richard Gardner

 

 

L'ambition de ce site est de renseigner objectivement les personnes cherchant à s'informer sur le Syndrome d'Aliénation Parentale et son inventeur Richard Gardner.

Les agresseurs ont toujours intérêt à discréditer systématiquement la parole des enfants : cela leur permet de poursuivre leurs exactions en toute tranquillité et en toute impunité...

Il y a moins de 10 ans, on avait déjà vu la déferlante des "fausses allégations" voler au secours des parents incestueux et/ou violents pour leur permettre de se laver des accusations formulées contre eux par leurs enfants.

Aujourd'hui la mode a changé : on ne parle plus tellement de "fausses allégations" mais plutôt de Syndrome d'Alénation Parentale ou d'Aliénation Parentale.

Mais l'objectif est toujours le même : baîllonner les enfants. Empêcher qu'ils s'expriment, qu'ils dénoncent ce qu'ils ont subi, et, s'ils parviennent toutefois à parler, discréditer leur témoignage.

Des personnages peu scrupuleux battent à l'heure actuelle la campagne pour tenter de faire "reconnaître" cette supercherie discréditée depuis longtemps aux Etats-Unis.
Ils luttent de toutes leurs forces et sur tous les terrains : on les voit intervenir sur divers forums, sur Wikipédia (où les deux entrées "SAP" et "Richard Gardner" sont prises d'assaut par leurs défenseurs qui vandalisent systématiquement toute contribution qui toucherait à leur icône et à son "invention"), dans des congrès, sur des sites internet, dans des revues de droit...

Bref : nous sommes en pleine période de propagande.

Il est donc capital de remettre les choses à plat et de se référer aux écrits-même de Gardner, afin de s'en faire une opinion fondée.

Il est important de souligner que toutes les informations référencées ici sont rigoureusement vérifiées et sourcées. Il suffira de se reporter aux références indiquées pour s'en assurer.

 

Psychiatre dans le secteur privé, Richard Gardner a toujours prétendu enseigner comme professeur à la faculté de médecine et de chirurgie de l'Université de Columbia. Après de multiples vérifications, il apparaît que si Richard Gardner disposait bien d'un cabinet de consultations psychiatriques privé, il n'a jamais été salarié de l'Université de Columbia, dans laquelle il n'a jamais exercé.

Richard Gardner était simplement parvenu à s'introduire à la faculté de médecine et de chirurgie de cette université en tant que bénévole : il n'a jamais été recruté par la moindre commission de spécialistes, n'y a jamais enseigné ou publié quoi que ce soit et n'a jamais été payé (source : Hoult Jennifer, The Evidentiary Admissibility of PAS, note 288).

En 1985, Richard Gardner inventait une théorie, le "SAP", "Syndrome d'Aliénation Parentale", et tentait de la faire reconnaître par ses pairs.

N'y parvenant pas, Richard Gardner fondait sa propre maison d'édition, "Creative Therapeutics", afin de publier ses travaux à compte d'auteur. Gardner parvenait par ce biais à donner quelque notoriété à son invention.

Entre 1985 et 2003, date de sa mort, Gardner a ainsi publié une bonne dizaine de livres, tous à compte d'auteur. Aucun d'entre eux n'a jamais été soumis à la moindre évaluation du moindre spécialiste en psychiatrie.

Parallèlement, Richard Gardner publiait des articles dans des revues de droit, c'est-à-dire des revues non dotées d'un comité de re-lecture spécialisé en psychiatrie et devenait expert près les tribunaux. Cette activité d'expert lui a permis de propager son invention auprès des cours de justice, notamment des tribunaux familiaux, et de gagner sa vie.

Le SAP, Syndrome d'Aliénation Parentale, n'ayant aucune validité médicale (il ne repose sur aucun symptôme médical défini ni sur aucune diagnostic précis), a systématiquement été rejeté par la communauté scientifique, médicale et psychiatrique aux Etats-Unis : il n'a donc jamais été référencé dans le DSM (manuel diagnostic de psychatrie aux Etats-Unis).

A l'âge de 72 ans, après une carrière passée à museler les victimes et à incriminer les femmes, Richard Gardner se suicidait d'une vingtaine de coups de couteau dans le ventre (mai 2003).

 

Absence scientifique du SAP (Syndrome d'Aliénation Parentale)

Dans l'ouvrage "True and False Allegations of Child Sex Abuse", publié à compte d'auteur, Gardner affirme, sans se référer à la moindre étude empirique, que toutes les paraphilies sexuelles humaines (c’est-à-dire les comportements déviants) seraient des mécanismes d’adaptation naturels qui stimuleraient la procréation et augmenteraient donc les chances de survie de l’espèce.

Ainsi, la pédophilie, le sadisme, le viol, la nécrophilie, la zoophilie, la coprophilie et d’autres paraphilies assureraient la survie de l’espèce en stimulant la procréation. Gardner se représentait les hommes comme des donneurs de sperme et les femmes comme des réceptacles à sperme : il prétendait que ces comportements sexuels « atypiques » servent à encourager la production de sperme chez les hommes et ainsi à augmenter les chances d’appareillage avec une personne susceptible de concevoir un enfant. Gardner considérait toute situation dans laquelle une femme devenait un réceptacle à sperme comme une chance de survie pour l’espèce. Il affirmait que les femelles humaines seraient naturellement « passives » et que le viol ou l’inceste résulteraient de cette passivité: il déclarait en effet que la passivité sexuelle des femmes les conduisait à devenir des victimes masochistes de viol, des victimes qui « ressentent du plaisir à être battues, ligotées et soumises à des mauvais traitements », comme si c’était là « le prix qu’elles sont prêtes à payer pour obtenir la gratification de recevoir du sperme » (Gardner, True and False Accusations, note 27, 26).
Il affirmait que l’inceste n’est pas dangereux en soi ; paraphrasant Shakespeare, il ajoutait, « c’est d’y réfléchir qui le rend dangereux ».

Gardner déclarait que les activités sexuelles entre les adultes et les enfants feraient « partie du répertoire naturel de l’activité sexuelle humaine » (Gardner, "True and False Accusations", note 27, 24) et que la sexualité entre adultes et enfants serait une pratique constructive du point de vue de la procréation, la pédophilie permettant selon lui de « charger à bloc » l’enfant, le rendant « hyper sexualisé » et ainsi plus enclin à rechercher des expériences sexuelles qui stimuleront la procréation.

L’analyse de Gardner se concentrant surtout sur les hommes adeptes de paraphilies, il précisait que la sexualité homosexuelle augmente elle aussi les chances de reproduction de l’espèce, malgré le fait que les homosexuels ne pratiquent que rarement la sexualité hétérosexuelle (c’est-à-dire à visée reproductive).

Gardner affirmait que le mal causé par les paraphilies sexuelles ne provenait pas d’elles à proprement parler mais uniquement de la stigmatisation sociale dont elles sont l’objet. Il affirmait que les amateurs de paraphilies méritent d’être respectés et compris.

Gardner et l'association NAMBLA

Le point de vue de Gardner sur les relations sexuelles entre adultes et enfants s’aligne sur celui développé par les tenants de la légalisation de la sexualité entre adultes et mineurs et par des groupes pro-pédophiles tels que NAMBLA (North American Man Boy Love Association).

Cette association, créée en 1978, se décrit comme une « organisation politique pour les droits civiques et l’éducation » dont le but est de «mettre fin à l’oppression dont sont victimes les hommes et les garçons qui entretiennent des rapports consentants ». L’association affirme qu’elle « ne s’engage dans aucune activité contraire à la loi, et n’incite personne à l’enfreindre ».
NAMBLA fournit pourtant de la documentation et son soutien aux criminels sexuels emprisonnés, les qualifiant de « personnes indûment incarcérées » pour des « relations amoureuses consenties entre personnes d’âges différents » au lieu de les décrire comme des hommes emprisonnés pour avoir transgressé la loi et causé du mal à des enfants.

Gardner et NAMBLA affirment que les relations sexuelles entre enfants et adultes sont biologiquement naturelles et qu’elles ne sont pas nécessairement mauvaises pour l’enfant : si l’enfant en retire une souffrance, disent-ils, ce n’est pas à cause de la relation en elle-même mais parce que la société stigmatise cette pratique. Selon Gardner « le caractère traumatisant de ces expériences (c’est-à-dire ces rencontres sexuelles entre adultes et enfants) dépend surtout de la réaction de la société face à elle. Il déclarait d’ailleurs :
« De nombreuses sociétés ont été injustement répressives à l’égard de ceux qui ont des tendances sexuelles paraphiles (c’est-à-dire les pédophiles, les violeurs, etc.) et n’ont pas prêté attention aux facteurs génétiques qui peuvent les expliquer. Prendre en considération cette dimension pourrait permettre de mieux tolérer ceux qui ont des penchants sexuels atypiques. J’espère que cette théorie permettra de mieux comprendre et respecter ces individus qui par ailleurs jouent un rôle dans la survie de l’espèce » (Gardner "True and False Accusation", note 27, 670).
Gardner affirmait que les « récidivistes doivent être mis au ban de la société » mais il déclarait aussi qu’ils ne devaient être emprisonnés qu’en cas d’échec de traitement, afin, disait-il, qu’ils ne soient pas incarcérés avec des « criminels de grand chemin » et qu’ils n’aient pas à accomplir des peines de prison interminables (Gardner, "Sex Abuse Hysteria", note 356, 119).

Sur le plan politique, Gardner a activement œuvré pour l’abolition du signalement obligatoire d’agressions sexuelles sur mineurs, pour l’abolition de la garantie de protection pour les professionnels signalant un cas de maltraitance sur enfant, et pour la création de programmes financés au niveau fédéral destinés à aider les personnes se disant victimes de fausses accusations.

L’organisation NAMBLA, tout comme Gardner, affirme que les relations sexuelles entre adultes et enfants sont normales, saines et bénéfiques pour les enfants.

Les partisans de la pédophilie et les scientifiques qui les soutiennent affirment, en ignorant délibérément les preuves des dégâts causés par la pédophilie sur les enfants des deux sexes, que les enfants ne souffrent pas des contacts sexuels qu’ils peuvent expérimenter avec des adultes; ils disent même que refuser aux enfants ces contacts sexuels revient à bafouer leurs droits.

Gardner et NAMBLA ont donc l’un comme l’autre déclaré que les relations sexuelles entre adultes et enfants sont sans conséquences pour ces derniers et qu’elles leur sont même bénéfiques. L’un et l’autre disent condamner et détester les conduites d’exploitation et d’agression sexuelles mais aucun ne définit la notion d’agression sexuelle sur enfant.

Le fait que le SAP trouve son origine dans une théorie que l’on peut aisément qualifier de « pro-pédophile » pose quelques soucis pratiques en matière judiciaire et législative.

Les origines et l’utilisation du SAP montrent qu’il est un outil politique et légal inventé et utilisé pour protéger les agresseurs d’enfants de poursuites judiciaires et pour promouvoir leurs contacts sans entrave avec ces enfants au travers d’ordonnances judiciaires leur en attribuant la garde totale.
Le SAP considère que les femmes et les enfants enfreignent les règles du patriarcat lorsqu’ils se permettent de manquer de respect ou lorsqu’ils refusent de faire preuve de respect à l’égard des hommes.
Le SAP présume a priori que toute plainte de violence masculine est nécessairement infondée : ce qui est un déni patent des preuves circonstanciées démontrant que les hommes utilisent plus la violence que les femmes et ressemble à un rappel de la loi patriarcale selon laquelle la violence masculine à l’encontre des femmes et des enfants est légale.
Le SAP condamne les femmes qui font usage de leur droit à agir en justice : ce faisant il réédite la règle patriarcale selon laquelle les femmes sont dépourvues de droits légaux.

Ainsi, il apparaît que les promoteurs du SAP recherchent le moyen de faire intervenir l’Etat afin qu’il prenne des mesures coercitives à l’encontre de femmes et d’enfants, qu’il écoute les doléances d’hommes qui exigent qu’on leur manifeste affection et respect et qu’il protège sans condition les liens entre des criminels sexuels et leurs enfants victimes, en leur en attribuant la garde totale.

Florilège de citations de Richard Gardner

Pour finir le portrait édifiant de cet individu, voici quelques phrases issues de ses livres..

* "La pédophilie intra-familiale, c'est-à-dire l'inceste, est répandue et ... est probablement une tradition ancienne".

* "La société occidentale est excessivement moralisatrice à l'égard des pédophiles. A mes yeux, les punitions draconiennes infligées aux pédophiles vont bien au-delà de la gravité des faits qu'on leur reproche".

* "Il est intéressant de noter que parmi les peuples de l'Antiquité, seuls les Juifs avaient une attitude punitive envers les pédophiles. Chez les premiers chrétiens, l'interdiction de la pédophilie provient directement de l'enseignement du Judaïsme, et notre réaction exagérée envers la pédophilie à l'heure actuelle est une exagération de ces principes judéo-chrétiens.."

* "Nous sommes fondés à croire que la plupart, sinon tous les enfants, ont la capacité d'atteindre un orgasme dès leur naissance".

* "Certains enfants expérimentent de puissants désirs sexuels dès le plus jeune âge et l'enfant normal présente une grande variété de fantasmes et comportements sexuels qui seraient taxés de 'pathologiques' ou 'pervers' s'ils étaient le fait d'adultes".

* "L'enfant victime d'agressions sexuelles est généralement tenu pour une victime alors que l'enfant peut parfaitement initier des rencontres sexuelles en 'séduisant' l'adulte".

* "Plus la machine à survie est jeune au moment de l'apparition des pulsions sexuelles, plus durable sera sa capacité procréatrice et plus grande la probabilité que cet individu engendre d'autres machines à survie dans la génération suivante."

* « Il est important de souligner ici que beaucoup de ces thérapeutes croient qu’une rencontre sexuelle entre un adulte et un enfant – même brève, même tendre, aimante et non douloureuse – est automatiquement et immanquablement traumatisante pour l’enfant. ».

* (parlant de la mère de l'enfant incestué) : « La réduction de sa culpabilité par rapport à la masturbation l’aidera à encourager cette pratique chez sa fille, au besoin. Et le gain de sexualité de la mère pourrait réduire le besoin qu’éprouve son mari de retourner vers leur fille pour des satisfactions sexuelles. ».

*  (parlant du père incestueux): « On doit l’aider à reconnaître que, même aujourd’hui, [la pédophilie] est une pratique largement répandue et acceptée, littéralement, par des milliards de gens. Il doit considérer que, dans notre société occidentale en particulier, nous avons une attitude très punitive et moralisante envers de telles tendances. En fait, il a simplement été quelque peu malchanceux d'être né en ce lieu et en cette époque pour ce qui est des attitudes sociales à l’égard de la pédophilie."

L'original de cet article se trouve ici

 

 

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