Abus rituels - Trouble Dissociatif de l'Identité - Mk Ultra Site consacré à l'étude de la programmation mentale par les sectes pratiquant les abus rituels traumatiques sur les enfants
Voici un récit historique très peu connu en francophonie, l’histoire d’un homme ayant déclenché une onde de choc ayant bien failli aboutir à l’anéantissement de la franc-maçonnerie américaine : il s’agit de l’affaire Morgan, ou la naissance d’un mouvement anti-maçonnique d’ampleur inégalée… à bon entendeur.
William Morgan est né le 7 avril 1774 dans le comté de Culpeper, en Virginie. On raconte qu'il aurait participé à la guerre de 1812, où il aurait obtenu le grade de Capitaine et servi sous les ordres d'Andrew Jackson lors de la bataille de la Nouvelle-Orléans en 1815.
En octobre 1819, le Capitaine Morgan s’établit à Toronto, où il tiendra avec son épouse une brasserie ; finalement détruite dans un incendie en 1821. Totalement ruiné, William Morgan revient à son métier de tailleur de pierre et de maçon pour subvenir à ses besoins.
C’est à cette période qu’il commence à fréquenter les loges maçonniques, il passe alors sous le bandeau et reçoit l’initiation.
C’est à Rochester, alors qu’il travaillait sur le chantier de l'aqueduc du canal Érié, qu’il intégra la Wells Lodge, première loge maçonnique de la région, où il aurait alors gravi les quatre premiers degrés initiatiques.
Après l'ouverture du canal à Rochester en 1823, Morgan quitta la région, déménageant d'abord à Le Roy, dans l'État de New York. Là, il créera sa propre loge et fit la connaissance de James Ganson, ancien shérif du comté de Genesee et lui-même haut dignitaire maçonnique.
De part son réseautage, William Morgan avait de grandes ambitions, notamment la construction d'un nouveau temple maçonnique en espérant rejoindre les Francs-Maçons de l'Arche Royale locale, mais il fut rejeté, plus précisément Blackboulé pour reprendre les termes maçonniques…
C’est ce qui déclencha les événements qui menèrent à sa mort…
En effet sa grande déception le plongea dans une amertume telle que durant l’été 1826, il décida de passer outre les serments maçonniques pour briser la loi du secret couvant les loges. En effet, William Morgan avait acquis une excellente maîtrise encyclopédique de l’ensemble des rituels maçonniques et avait bien l’intention de divulguer le tout au monde profane !
Il s’associa alors avec un imprimeur de Batavia, David Cade Miller, pour écrire un livre révélateur intitulé « Illustrations of Masonry » dans lequel il révélerait les dessous de cette société secrète.
C’est là que les choses deviennent intéressantes !
Les représailles des francs-maçons furent notoires :
Tout d’abord, l’imprimeur Miller, ayant aidé Morgan pour les premières étapes de la publication du livre, a vu son imprimerie faire l’objet de plusieurs tentatives d’incendies volontaires. Un infiltré franc-maçon s’étant fait embaucher par l’imprimerie réussi quant à lui à détruire la première édition du livre.
Les francs-maçons tentèrent également d’acheter le manuscrit pour le mettre au placard. Ce fut peine perdue !
Les francs-maçons passèrent alors à la vitesse supérieure pour faire taire Morgan en saisissant l’institution judiciaire. Une première plainte fut déposée par un frère maçon l’accusant de lui avoir volé une cravate et une chemise dans une taverne, le jugement conclu alors à un acquittement faute de preuves ; mais une seconde plainte fut déposée par un de ses créanciers, en l’occurence le Vénérable de la loge de Canandaigua.
William Morgan se retrouva alors emprisonné !
Heureusement, ou dirons-nous malheureusement pour lui, le Vénérable retira sa plainte et deux francs-maçons, Nicholas Cheesboro et Loton Lawson, payèrent sa caution puis profitèrent d’avoir la main mise sur lui pour l’enlever de manière peu fraternelle… ils le firent rapidement monter dans un calèche après quoi il ne fut jamais revu. À ce jour, personne ne sait exactement ce qui lui est arrivé.
Le franc-maçon renégat avait disparu mais ses écrits révélateurs avaient bien été imprimés et massivement diffusés…
Selon des témoignages rapportés au tribunal, l'explication la plus probable est qu'il fut brièvement détenu à Fort Niagara à Lewiston dans l’état de New York où il fut noyé. Les francs-maçons accusés de l’avoir fait disparaître affirmèrent quant à eux lui avoir donné 500$ pour qu’il quitte définitivement le pays…
Un corps fut retrouvé le 7 octobre 1827 près du Fort Niagara mais les recherches policières et judiciaires classèrent le dossier sans suite. Nous pouvons aujourd’hui suspecter une connivence maçonnique au sein même de la police complice.
Sa disparition, probable assassinat, déchaîna alors une vaste campagne anti-maçonnique à travers tout les États-Unis. La ferveur à New York s'est lentement répandue à travers le pays et un nouveau parti politique anti-maçonnique mené par Thurlow Weed verra le jour pour très vite rivaliser avec les plus grands groupes politiques du pays.
Un « troisième parti » émergeait donc pour la première fois de l’histoire des États-Unis ; le schéma Démocrates VS Républicains s’en trouvait totalement ébranlé.
Dès les élections suivantes en 1828, les candidats anti-maçonniques remportaient des postes dans tout le pays. Même le président en fonction et sous pression, John Quincy Adams, déclara qu’il n’avait jamais été, et ne sera jamais, maçons.
« Je crois consciencieusement et sincèrement que l’Ordre de la Franc-Maçonnerie est l’une des plus grandes sources de désordres moraux et politiques, si ce n’est la plus grande. »
John Quincy Adams
Comment le président pouvait-il tolérer que la franc-maçonnerie puisse éliminer ceux qui contrarient ses sombres desseins ?! Les notions « d’état dans l’état » et de « pouvoir occulte » commencent alors à faire leurs chemins dans l’esprit des citoyens profanes…
Bien que le livre de William Morgan en lui-même soit plutôt banal comparé aux révélations écrasantes que l'on découvre aujourd'hui, notamment sur le pédo-satanisme, il contenait tout de même des révélations inédites pour les lecteurs du début du 19e siècle. Morgan révélait que les membres potentiels devaient signer et prêter un serment de loyauté. Cette loi du silence consistant à garder les secrets les plus sombres de l'organisation, sous peine de torture et de mort, était tout simplement un scandale national !
Les effectifs des loges chutèrent… Alors qu’en 1826 New York comptait 480 loges, la déferlante ne devait en laisser subsister que 75 en 1835, et les trois Suprêmes Conseils du Rite Ecossais Ancien et Accepté coexistant à l’époque cessèrent toute activité !
La curiosité naturelle du public à l'égard des Francs-Maçons, combinée à l'indignation suscitée par la disparition notoire de Morgan, a contribué à faire de son livre un best-seller. Malheureusement, Morgan n'était plus là pour en profiter.
La postérité se souviendra de lui, notamment de part l’érection d’une monumentale colonne de 12 mètres de haut dans le cimetière de Batavia à New-York. Son corps n’ayant jamais été retrouvé, il ne s’agit pas de sa tombe mais une commémoration érigée grâce aux contributions financières de plus de 200 personnes résidants à la fois au Canada et aux États-Unis.
Nous pouvons notamment y lire sur sa base :
« Le fléau de nos institutions civiles se trouve dans la Franc-maçonnerie, déjà puissante et devenant chaque jour plus puissante. C’est un devoir envers mon pays d’exposer ses dangers - Capitaine William Morgan »
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Dans le cirque marasmique politique actuel combiné à la léthargie de la population totalement divisée et manipulée ; tout semble verrouillé et inéluctablement perdu face au rouleau compresseur mondialiste, brisant les peuples et les nations… mais surtout les Enfants. Nous pouvons espérer et prier pour qu’un électrochoc providentiel vienne secouer et réveiller cette société actuellement soumise et impuissante. Cet électrochoc devant cibler le cœur et l’âme des individus pour un sursaut efficace et fructueux.
L’abomination que représente la pédocriminalité institutionnelle est certainement la clé pour enfin rassembler les gens dans une même dynamique mettant à-bas les divisions politiques. Sans aucun doute que le « troisième parti » qu’avait fait émerger l’affaire Morgan aux États-Unis dépassait les notions politiques de droite et de gauche. Le peuple américain prenait conscience qu’un pouvoir occulte sous-terrain mais tout de même institutionnel occupait le terrain malgré eux, en dehors du processus démocratique électoral. La Loi du Secret propre aux sociétés secrètes était intolérable !
Il va sans dire qu’aujourd’hui, à la lumière du dévoilement exponentiel du pédo-satanisme impliquant les loges, un « troisième parti » totalement apolitique pourrait émerger pour coaliser et dynamiser le peuple, car ON NE TOUCHE PAS AUX ENFANTS ! Rappelez-vous la « Marche Blanche » en Belgique pendant l’affaire Dutroux ! C’est ce qu’ils craignent le plus, l’union des bonnes gens profanes dans un mouvement d’ampleur, marchant ensemble pour dire STOP aux abominations !
Le livre de William Morgan :
https://ia601309.us.archive.org/16/items/morgansfreemason00morg/morgansfreemason00morg.pdf