Abus rituels - Trouble Dissociatif de l'Identité - Mk Ultra Site consacré à l'étude de la programmation mentale par les sectes pratiquant les abus rituels traumatiques sur les enfants
Le rappel par Reagan du conditionnement à la maxime de Kennedy, effectué par Ford et Vander Jagdt, paraissait avoir une signification plus patriotique que de simplement servir de distraction sexuelle à des politiciens en agitant un drapeau avec mon derrière. Après l’avoir profondément fixé dans des yeux qu’il qualifiait lui-même de "kaléi- doscopiques", chacune de ses assertions métaphoriques devint pour moi l’équivalent d’un souffle vital.
Reagan m’expliqua que les opérations clandestines – illégales – de la CIA auxquelles j’étais forcée de prendre part étaient "justifiées" par le fait qu’elles finançaient des opérations secrètes en Afghanistan et au Nicaragua. Son explication était que : "Le train de la liberté de l’Amérique s’étend dans le monde entier et le sexe n’est qu’une déviation temporaire sur l’ultime trajet qui mène à la liberté. C’est notre tâche de fournir et de transporter des armes qui en est la partie la plus ardue. Mais cela peut et doit être fait. Comment un homme privé d’armes pourrait-il combattre ? Ces opérations sont nécessaires alors que le peuple américain fait dans le même temps déjà bien trop d’histoires à propos de la violence : mieux vaut ainsi qu’il ne soit pas informé de nos guerres de soutien, dont il ne peut pas comprendre la portée."
Je réalise à présent que Reagan distordait la réalité pour l’adapter à ses propres perceptions plutôt que d’adhérer à la philosophie de Byrd de trouver des excuses pour ce qu’il qualifiait "d’ordre des choses". Reagan avait cela de typique qu’il ne percevait pas le contrôle de l’esprit comme de l’esclavage, mais comme "une opportunité pour ceux qui ne feraient sinon rien de leur vie". Il affirmait que les enfants comme moi, incestés selon des pratiques multigénérationnelles, ou des "joueurs de baseball issus de milieux pauvres et de taudis du tiers-monde, se voyaient ainsi offrir une opportunité de ‘vivre tous leurs potentiels’ à travers une ‘contra-bution’ à la société, à notre nation et au monde, en utilisant leurs talents au maximum de leurs possibilités." C’était, à travers une telle attitude, de la fierté qu’exprimait Reagan, alors qu’il incarnait le rôle malsain du magicien d’Oz dirigeant des esclaves du projet "Monarque" de mon genre.
Agissant en qualité de proxénète, Byrd me prostitua ce soir-là à Reagan. Faisant référence à moi comme si j’étais une machine, Reagan, qui pensait aux drogues spéciales de la CIA, demanda à Byrd : "Elle marche aux produits chimiques ?"
"Elle en prend par giclées" fut la réponse de Byrd. Je pus remarquer une lueur perverse dans les yeux de Reagan alors qu’il saisissait la phrase de Byrd, dont il fallait comprendre que je "partagerais", par le biais de son urine, toutes les drogues qu’il pourrait y avoir dans son corps. Reagan me confia plus tard qu’il préférait les esclaves sexuelles "dressées" à ce genre de tâche, étant donné qu’un Président n’avait pas à se lever la nuit pour uriner.
"Eh bien, fit Reagan en levant son verre, je n’ai pu lui faire le plein qu’avec de l’alcool. Tu parles d’un coup de baguette pour un ‘as de la magie' !" Byrd gloussa en entendant la blague cryptée façon "Oz" de Reagan, et tira sa fiole à cocaïne plaquée or de la poche intérieure de sa veste de costume. Reagan et lui tournèrent discrètement le dos à la soirée tandis que Byrd expédiait une "cuillérée" de drogue dans la narine de Reagan.
Avant que je ne m’en aille avec Reagan, Byrd m’informa qu’"Oncle Ronnie ne dormait jamais avec sa maman (Nancy)", et qu’il préférait se pelotonner entre ses draps de flanelle bleus "LL Bean" dans sa chemise de nuit et son grotesque bonnet de nuit parce qu’"ils étaient plus chauds, plus doux, plus confortables, et qu’eux, ils ne ronflaient pas."
Plus tard, Reagan accéda dans sa chambre à ma programmation sexuelle, et je devins "mon rôle" {"my part" tel quel ds. le txt. (N.d.T.)} de prostituée à "Oncle Ronnie". Reagan ne bougeait pas durant les rapports. C’était après tout "mon devoir". Et mon devoir était de lui faire plaisir, quel que soit ce que cela exigeât, et cela prenait en l’occurrence plus de temps qu’autre chose. Reagan ne me faisait jamais mal (il s’assurait toujours que quelqu’un d’autre le fît) et se servait de cette attitude comme d’un "lien" avec la personnalité de petit enfant ("Chaton") à laquelle il accédait toujours pour nos rapports. Le défaut le plus visible de la personnalité de Reagan était sa passion pour la pornographie zoophile. À en croire mes "maîtres", sa passion pour la pornographie en a décuplé les production et distribution lors de son administration. Il approuvait et encourageait sans réserve le financement des opérations secrètes à travers l’industrie du porno’.
De nombreux films pornographiques commerciaux, ou faits sur instruction (privés), auxquels moi et d’autres avons pris part, et aux- quels on se référait en tant que "Les histoires pour s’endormir d’Oncle Ronnie", était produits pour son seul bon plaisir – la plupart selon ses directives, en utilisant les esclaves du "Freedom Train". À la suite de ma rencontre initiale avec Reagan, je fus utilisée dans de nombreux films, qui étaient en général produits à l’École de Charme de Youngs- town et/ou par Michael Danté,43 son "pornographe en chef", spécialement pour satisfaire ses perversions. Ils comportaient une grande série de thématiques cryptées, sauf que c’était la plupart du temps de la zoo- philie. Reagan visionnait souvent ces vidéos pendant que j’étais prosti- tuée à lui, exigeant de moi que je rejoue ces pornos’ de toutes les façons possibles.....
L'Amérique en pleine Transe-Formation - Éditions Nouvelle Terre