• Stan Maillaud - Biographie sommaire

     

    Stan Maillaud - Biographie sommaireMr Christian MAILLAUD (plus connu avec le prénom d’usage Stan)

    Il nait le 7 janvier 1968 à Paris.
    Après trois premières années passées au Canada, il part aux Antilles Françaises, en Martinique puis en Guadeloupe, jusqu’à l’âge de onze ans.
    Il finit sa scolarité à Montpellier, à seize ans, et devance son service militaire un an plus tard.

    Il est d’abord gendarme, puis parachutiste dans les forces spéciales, puis garde-du-corps, agent de sécurité de boîte de nuit et enfin patron d’une agence de sécurité privée, sur l’Ile de la Réunion – où il migre en 1994…
    Il se retrouve emprisonné, pour deux mois dans une geôle locale, ayant été accusé d’être, à lui tout seul, un groupe de combat.

     

    Trois ans plus tard, s’ensuit un curieux jugement qui le condamne à subir une psychothérapie, qui l’interdit à vie d’exercer son métier, et qui le prive également à vie de ses droits civiques et civils, pour avoir été ce groupe de combat… à lui tout seul…
    Il se réfugie alors en Corse, se soustrayant ainsi à l’internement psychiatrique.

    Aujourd’hui (janvier 2020), il est âgé de 52 ans et n’est rattaché à aucun parti ou mouvement politique.

    Depuis le 5 mars 2009, suite à son intervention pour soustraire à son bourreau un enfant : Vincent, victime de maltraitances, pour le confier à sa mère, il fait l’objet d’un mandat d’arrêt. Il a ainsi été condamné en délibéré, ayant omis de se présenter, à un an de prison ferme pour « soustraction de mineur », ce qui évitera aux magistrats, volontairement ou pas, d’évoquer l’existence d’un réseau de criminels pédophiles, sur Perpignan.
    Lors de cette audience publique du 5 mars 2009 au TGI de Perpignan, Madame l’avocate générale demande un an et demi de prison ferme, sans pour autant donner corps légal à l’infraction qui lui est reprochée. Elle use même des termes suivants pour désigner le prévenu : « un chevalier blanc au grand cœur »
    Stan Maillaud, après avoir été condamné en 2004 à suivre une psychothérapie pour avoir trop bien protégé ses clients, est ainsi condamné 5 ans plus tard à un an de prison ferme pour avoir un grand cœur…

    GENDARME : 1986 - 1992

    « Rentré par idéal, sorti par dégoût » : par ces quelques mots, se résume cette expérience dans le milieu des forces de l’ « Ordre ».
    Il effectue d’abord son service militaire dans la gendarmerie nationale en 1986, et, après un période de deux ans où il travaille dans la sécurité privée, il rentre en école de sous-officiers de gendarmerie, à Châtellerault.
    Il sera alors gendarme mobile quasiment trois ans, et choisira de démissionner pour effectuer une mutation inter-armée au 1e RPIMa (Régiment Parachutiste d’Infanterie de Marine ) de Bayonne, une unité spéciale.
    La raison de cette reconversion ?
    Une carrière en gendarmerie devenue invivable pour un homme de conscience, depuis qu’au cours d’un déplacement en 1992 en Guyane française, où il est envoyé en renfort à la brigade de Kourou, il s’oppose aux maltraitances sur les civils locaux commis par ses collègues départementaux : il est ainsi témoin d’exactions particulièrement graves de la part des militaires de cette unité, entre les descentes sauvages dans les quartiers pauvres de Kourou, suivies de passages à tabac de pauvres bougres, les trafics de drogue et d’armes organisés au sein même de la brigade et enfin, les abus sexuels sur des prostituées (droguées puis abusées collectivement), thème principal des patrouilles de nuit.
    Déjà choqué par ce qu’il découvre, il est un jour témoin de violences sur un jeune surinamien de quinze ans, que les membres du détachement de gendarmes dont il fait partie, qui devaient simplement raccompagner le garçon jusqu’à un poste frontalier avec le Surinam, menacent ouvertement de viol collectif.
    Mauvaise plaisanterie, ou tentative de compromission avec réelle volonté de passer à l’acte sur le pauvre adolescent ?… Il n’en saura jamais rien, s’étant opposé verbalement et physiquement, avec pour résultat une situation « normalisée ».
    On lui reproche alors d’avoir perdu son sang-froid, ce qui entraine un retour immédiat vers son unité d’origine.
    Une fois en métropole, après exposé détaillé des circonstances et raisons de son retour, il est qualifié de « mythomane » par sa hiérarchie, qui ordonne alors une expertise psychiatrique… qui le déclare « P1 », c.à.d. psychologiquement irréprochable.
    Durant le temps qu’il reste dans l’arme et jusqu’à sa démission, il essuie de nombreux coups tordus dont un, particulièrement fourbe : son arme à feu personnelle, à titre privé et civil, puisque membre de la FFT (Fédération Française de Tir), disparait dans des conditions mystérieuses.
    Il est immédiatement accusé de s’être volé lui-même son arme de poing, et bien que celle-ci fût un bien personnel sans aucun lien direct avec ses fonctions, l’incident déclenche toutes les disgrâces possibles de la part de sa hiérarchie, et même de l’autorité judiciaire de Montélimar.
    Dans la foulée, certains de ses effets, de dotation à présent, se mettent à disparaître, apportant de l’eau au moulin des accusateurs acharnés… Il décide alors de rompre avec cette « ambiance » malsaine par démission puis mutation inter-arme.

    PARACHUTISTE (Infanterie de Marine) : 1992 - 1994

    Il se porte alors candidat pour entrer dans les forces spéciales, réussit à être admis au 1er Régiment Parachutiste d’Infanterie de Marine (1er RPIMa) basé à Bayonne, et commence alors une carrière reprise au bas de l’échelle. Celle-ci se déroule très bien durant 2 ans.
    Puis au bout de 2 ans, une disparition de matériel sensible lui est attribuée, à savoir deux postes émetteur-récepteur radio, au sein de la cellule qu’il venait d’intégrer récemment : « l’Instruction Spécialisée ».
    Le commandant Reffalo - chef de cette cellule, désigne immédiatement l’ex-gendarme comme coupable aux enquêteurs de la brigade de gendarmerie de Bayonne, accourus sans délai.
    Deux mois de brimades en tous genres plus tard, les fameux postes radio sont retrouvés sur les lieux où ils avaient été « oubliés » par un des principaux accusateurs, le lieutenant Rossini, membre de la même cellule « Instruction Spécialisée ».
    Le jeune parachutiste est tant harcelé moralement et « roulé dans la boue » suite à ce coup monté, d’une supposée « intelligence avec l’ennemi » à savoir un militaire russe en stage à qui il aurait confié les deux postes… qu’il n’avait pas subtilisés, qu’il préfère abdiquer, d’autant plus qu’il apprend, sur ces entre-faits, que son père Ian est mourant.
    Il pose alors sa démission, pour ne plus jamais embrayer sur la moindre réorientation militaire.

    AGENT DE SECURITE (Ile de La Réunion) : 1994-2005

    En 1994, Mr Maillaud se rend donc sur l’Ile de La Réunion, ses parents s’y étant établis, pour revoir son père Ian qui est mourant.
    Il y reste après le décès de son père.
    Il fait portier de boîte de nuit pour commencer. Puis il crée une entreprise de protection des biens et des personnes : Inspiré par un climat d’insécurité préoccupant, et par l’inefficacité caractérisée des pouvoirs publics sur place, il organise une équipe privée d’intervention. C’est une première sur l’île, et malgré les procès d’intention qui s’expriment, l’entreprise, en bonne et due forme administrative et légale, voit le jour.
    L’innovante formule entraine une épopée professionnelle de plusieurs années.
    Cela permet notamment de « tempérer » l’ardeur des voyous dans le périmètre de Saint-Gilles-les Bains, grâce à l’équipe privée d’intervention, dûment agrémentée, et au service d’un regroupement de commerçants et de résidents initiés, qui sont ainsi protégés efficacement.
    Cette initiative originale, qui fait de l’ombre aux pouvoirs publics, Mr Maillaud se retrouve accusé d’escroqueries diverses, du classique « abus de biens sociaux », et « d’organisation de groupe de combat ».
    Le tribunal de commerce local, dont entre autres M. Piec, liquidateur judiciaire, organise la liquidation de la première entreprise. La brigade de recherche de Saint-Paul, entre autres le gendarme Emmanuel Prissette, sous les ordres du capitaine Bon, formalise le tout…
    Il est reproché à Mr Maillaud d’être, à lui tout seul, le dit « groupe de combat », sans autre élément à charge qu’une suite de témoignages sans fondement tangible. L’agrément de Mr Maillaud ne lui est d’ailleurs supprimé qu’après inculpation…
    Cela conduit alors l’entrepreneur à la ruine, à la prison et à la disgrâce publique, à l’âge de 33 ans, en 2001.
    Après deux mois de prison, il entreprend une défense, étouffée car engluée dans les fils de la justice locale.
    Il est condamné en première instance, par l’entremise de l’auxiliaire de justice, au nom maintenant célèbre, Gilbert Collard - voir article du Journal de l’Ile de la Réunion intitulé : « Christian Maillaud, le retour ».
    Il remonte ensuite, avec l’aide financière de sa mère, une seconde entreprise similaire à la première Saint-Gilloise, cette fois dans le sud de l’île. Il offre alors ses services de protection principalement à la communauté musulmane - assurant même la sécurité de la Mosquée de Saint-Pierre.
    Entre-temps, il fait également appel de la décision de justice, changeant d’avocats pour sa défense.
    Des opérations de protection (par délocalisation) d’enfants maltraités - voir articles Paris-Match : « Kidnapping au nom de l’amour » et « Christian Maillaud, échappé de l’enfer », l’occupent également jusqu’en 2005, année où il reçoit une mise en demeure de se rendre chez un psychiatre expert près la cour d’appel.
    Abandonné par son deuxième auxiliaire de justice Patrick Rizzo, de Nice, et redoutant l’internement qui lui pendait au nez, il quitte la Réunion rapidement, ignorant ainsi l’invitation du psychiatre.
    « Par défaut », il est condamné en appel à suivre une psychothérapie, ainsi qu’à un an et demi de prison avec sursis, et une interdiction définitive, à vie donc, de travailler dans le domaine de la protection privée. Il est de plus déchu de ses droits civils et civiques…
    Le président de la cour d’appel de Saint-Denis, dénommé Salzmann, n’ayant pu obtenir l’expertise qu’il avait ordonnée, s’octroie en quelque sorte la qualité de psychiatre, en évoquant une supposée « dangerosité paranoïde » de Mr Maillaud.
    Il s’établit alors sur la Côte d’Azur et réalise quelques dernières missions de protection rapprochée, pour le compte d’agences de sécurité locales, courant 2005.
    Mr Maillaud engage aussi son dernier recours judiciaire, la cassation, sa condamnation se trouvant suspendue le temps que n’intervienne cette ultime décision de Justice.
    Pendant ce recours, il décide de partir en Corse, et se reconvertit un temps dans le coaching sportif.

    COMBAT CONTRE LES RÉSEAUX PEDOCRIMINELS (Phase 1): 2006 – 2009

    C’est en septembre 2006 que Mr Maillaud revient de Corse pour le continent, afin d’entrer en contact avec un certain Christian Cotten, président d’une association de lutte contre les violences judiciaires : « Politique de Vie ».
    Il entend ainsi pouvoir pousser son dossier à la Cour Européenne des Droits de l’Homme, et espère aussi trouver l’aide nécessaire pour éviter l’internement, auprès de Christian Cotten, psychothérapeute de formation.
    En fait d’aide pour son propre dossier, Mr Maillaud, se retrouve embrigadé dans « Politique de Vie », Cotten le réquisitionnant pour mettre en forme des rapports d’enquête de nombreux dossiers.
    Mr Cotten, candidat à l’élection présidentielle à venir de 2007, attirait des victimes de violences judiciaires en grand nombre, et ne disposait plus du temps nécessaire pour traiter correctement tous les dossiers.
    L’ex-gendarme découvre des vérités insoupçonnées sur le système sociétal dans son ensemble, sur tous les thèmes possibles et imaginables…
    S’il avait déjà bien ouvert, par ses propres expériences judiciaires, une brèche dans la chape d’illusion qui recouvre notre système sociétal, il complète sa connaissance globale, accédant à des dossiers et des vérités épouvantables.
    Mr Maillaud s’acharne au travail, mais ne voit rien publié pour autant sur le site de « Politique de Vie ».
    Qu’à cela ne tienne, il rédige les rapports chronologiques d’affaires de violences judiciaires qui touchent des mères victimes, avec leurs enfants, de réseaux de criminels pédophiles – voir « scandale judiciaire à Montpellier, affaire Corinne Gouget ».
    Mr Maillaud accompagne aussi Mr Cotten dans des audiences publiques, et intervient même au jugement en appel de l’affaire de l’Ordre du Temple Solaire, à Grenoble, suppléant Mr Cotten, partie civile dans le dossier, pour des interventions à la barre.
    Il assiste également à l’insuffisance des magistrats dans le drame des malheureux villageois de Bourg-Fidèle (Ardennes) empoisonnés au Plomb : lors de l’audience publique en appel de novembre 2006, les plaignants sont déboutés, et l’usine de traitement de piles « Métal Blanc » sanctionnée faiblement, malgré des éléments accablants.
    De retour au bureau, il continue à rédiger des rapports, toujours en tant que bénévole…
    Ultérieurement, il fait également la connaissance d’un personnage haut en couleur avec lequel il se lie d’amitié, un anthropologue à la retraite du nom de Frank Hagenburcher. L’homme luttait de son côté, sans bénéficier lui non plus de l’aide méritée, contre les abus du système tutélaire dont sont victimes des personnes majeures sous protection juridique : manipulations notariales, dépossession ... Un volet à part donc concernant notre système juridique inopérant à protéger les majeurs sous tutelle…
    Mr Maillaud continue son travail d’écriture jusqu’au jour où un dossier atterrît sur son bureau : celui concernant un enfant de dix ans, Vincent…

    Mandaté pour effectuer un rapport d’enquête sur cette nouvelle affaire, il se rend à Grenoble pour faire plus ample connaissance avec l’enfant et sa mère Mme Roig, venus de Perpignan. Tous les trois ont rendez-vous avec l’avocat de « Politique de Vie », Mr Jean-Pierre Joseph.
    Mr Maillaud rencontre donc l’enfant et sa mère dans le bureau de l’auxiliaire de justice, et il découvre aussi les détails du dossier, explicités par Mr Joseph. Ce dernier lui affirme alors, quasiment mot pour mot : « Pour réellement aider cet enfant, il n’y a rien d’autre à faire, dans un premier temps, que de les “délocaliser” sa mère et lui. C’est très pourri, je ne peux rien faire immédiatement, et le garçon court un grave danger. »
    Ainsi sensibilisé par le juriste, Mr Maillaud prend d’abord contact par téléphone avec Mr Cotten pour l’informer de la situation. Ce dernier lui conseille de ne rien faire de plus, et de remonter simplement au siège de l’association, à Boulogne-Billancourt.
    Mr Maillaud décide alors, malgré l’absence de soutien, de porter vraiment assistance à l’enfant, c.à.d. plus concrètement en l’abritant, accompagné de sa grand-mère.
    En même temps, il alerte toutes les autorités possibles parmi les institutions politiques et judiciaires... en vain.
    Le seul résultat est que la police vient l’arrêter… Suite à inculpation dite de « soustraction de mineur », bien qu’en permanence la grand-mère ou la mère accompagnaient l’enfant, il est contraint à trois semaines d’incarcération, et de grève de la faim en signe de protestation…
    A sa sortie de prison, il décide de ne plus se reposer exclusivement sur l’appareil judiciaire, qu’il observe lent et défaillant pour la prise en compte de ce dossier urgent. Il achève donc le rapport chronologique et le met en ligne, accompagné de ses pièces jointes : « l’affaire Vincent ». Il joint le témoignage vidéo de l’enfant, intitulé tout simplement : « témoignage de Vincent ».
    Il effectue également, sur la base de ce dossier, la saisine du président du conseil supérieur de la magistrature, rendue publique sur internet au moyen d’une première vidéo lettre adressée au Président de la République, Mr Nicolas Sarkozy.
    Puis, il se met en quête de faits et d’éléments juridiques pour organiser la controverse de l’argumentaire judiciaire par lequel sont rejetés toute justice et protection à l’enfant, à savoir:
    - que l’enfant ne peut que mentir en raison des horreurs qu’il dénonce,
    - que les réseaux de criminels pédophiles n’existent pas,
    - et que de toute façon, depuis l’affaire d’Outreau (Pas-de-Calais) de 2005, il ne faut pas prendre en considération la parole des enfants.
    Dans le cadre de ses recherches, Mr Maillaud apprend l’existence du rapport de Mr Juan Miguel Petit, rapporteur spécial de l’ONU. Dans ce rapport, ce dernier explique très officiellement que des citoyens français doivent se réfugier en Suisse pour soustraire des enfants à leurs bourreaux, et ils accusent également l'administration française de « couvrir » la pédophilie de réseaux.
    Mr Maillaud décide alors d’entreprendre une enquête sur une affaire de pédopornographie citée par ce fonctionnaire onusien, celle du CD ROM de Zandvoort (Pays-Bas).
    C’est ainsi que, s’étant rendu en Flandre pour interroger l’activiste belge Marcel Vervloesem qui a découvert et possède le fameux CD ROM, il apprend de lui qu’en fait il a récupéré 21x CD ROMs, et que ceux-ci contiennent une quantité effarante de photos et films de viols, tortures avec actes de barbarie, jusqu’ à parfois mise à mort, sur des enfants de tout âge, y-compris de nouveau-nés...
    Mr Maillaud découvre ainsi dans le détail l’édifiante affaire, qui recoupe exactement toutes les déclarations du petit Vincent. Il apprend aussi que cette affaire fait l’objet d’une campagne de chantage judiciaire de la part des autorités belges pour l’étouffer, accompagnée de celles des autres pays concernés.
    De retour en France, il effectue une nouvelle saisine du Chef de l’Etat français, Mr Nicolas Sarkozy, sur ce sujet précis, au moyen de sa seconde vidéo lettre publique.
    Par une publication sur internet : « Opération panique chez les ignobles », il informe de la monstrueuse affaire, ainsi que de la nonchalance des institutions politiques et judiciaires de nombreux pays, dont la France. 
    Il n’a d’autre réponse à sa vidéo-lettre que des incitations à taire ses révélations.
    Mr Maillaud réalise ensuite des mois d’enquêtes et d’investigations sur le sujet des réseaux de pédocriminels dans la société. Il décide alors de diffuser sur internet le résultat édifiant de ses recherches.
    Il réalise ainsi un reportage sur l’enquêteur belge flamand Marcel Vervloesem au printemps 2008, et ce jusqu’à l’incarcération de ce dernier, afin de le neutraliser. Mr Vervloesem sera ensuite définitivement innocenté, notamment par Marc Tellenne (plus connu sous le pseudo de Karl Zéro) dans son livre publié en 2014 : "Disparues de l'Yonne, que sont-elles devenues ?".
    Ce reportage est ensuite monté courant 2009.

    COMBAT CONTRE LES RÉSEAUX PEDOCRIMINELS (Phase 2): 2010 –2020…

    2010 - 2011 :
    Ecriture de livres, notamment « L'affaire Vincent »
    Réalisation de vidéos de témoignages…
    Reportage sur l’affaire Zandvoort : « Les réseaux de l’horreur ».
    Association de lutte contre la pédocriminalité et de protection d’enfants victimes…

    2012 – 2013 :
    Arrestation/incarcération de Janett Seemann (Saintes)

    Fin 2013 :
    Activité associative, en clandestinité…

    2014 :
    Diffusions de vidéos (11x) - Sandrine Gachadoat, Priscilla Majani, Hélène Choirat…

    Mi 2018 :
    Refuge au Venezuela, continuité de la lutte (chaine YT « Francisco Sanchez »)

    Juillet 2019 :
    Arrestation/incarcération de Mr Maillaud par Interpol (Caracas – Venezuela)

    Décembre 2019 :
    Extradition de Caracas vers Saintes (France – Charentes Maritimes)

    31 janvier 2020 :
    Audience publique à Saintes… où écope d’une peine de 4 ans ferme pour délit d’avoir envisagé en pensée, et mots jetés sur un cahier de brouillon, le rapprochement vers leur mère de trois enfants, si et seulement si, il avait été avéré qu’ils étaient abusés par leur père, ce que les « apparences » ne confirmèrent pas, entrainant l’abandon de tentative d’interview...


    Annexe :

    UNE FAMILLE ENGAGEE

    Le grand-père maternel de Stan Maillaud, le basque Raymond Paluat, fut, épaulée par sa femme, la corse Berthe Rutily, un résistant très engagé durant la deuxième guerre mondiale. Il commandait un réseau de renseignement en Afrique du Nord, avec lequel il procédait régulièrement à des exfiltrations, notamment de juifs.
    Il fut arrêté et enfermé deux ans par les occupants, mais en sortît vivant à la fin de la guerre.

    Son grand oncle paternel, Robert Maillaud, officier Hussard, mourut au front en 1940, lors de la bataille de France face aux chars allemands.

    Il avait un grand frère, Pierre Maillaud, alias Pierre Bourdan de son nom de guerre, grand-père paternel de Christian, du même nom par conséquent. Journaliste à l’AFP, et bouleversé par la mort de son jeune frère Robert, il rallia le général de Gaulle à Londres, le lendemain même du célèbre appel du 18 juin 1940.
    Il participa alors à la création de l’émission « Les français parlent aux français » de la BBC, et l’anima durant les quatre années d’occupation, insufflant espoir et courage à une résistance démunie, en renseignant ses membres, tout en partageant avec les londoniens les bombardements qui étaient le quotidien.
    Malgré son rôle crucial à la BBC, il décida de partager le danger des soldats du Débarquement : le jour « J » arriva alors, en même temps que la « voix de Londres » devait se taire. Pierre Bourdan, déclaré inapte au combat car aveugle d’un œil, participa tout de même, à titre de correspondant de guerre au débarquement du 6 juin 1944 au sein de la Division Leclerc.
    Parti en mission de renseignement, il fut capturé derrière les lignes ennemies, pour être déporté au moyen de fourgons à bestiaux. Il réussit à s’en évader, puis il est laissé pour mort, suite à pilonnage par l’artillerie ennemie, sous les décombres d’une bâtisse où il avait trouvé refuge. Miraculeusement indemne, ainsi que deux compagnons de cavale, il réintégra la division Leclerc pour participer à la libération de Paris, puis poursuivre son offensive en territoire ennemi, et libérer les prisonniers des camps de concentration.

    Au sortir de la guerre, Pierre Maillaud, alias Bourdan, était alors très populaire, au point qu’il put engager une carrière politique. Il fut ainsi élu député à deux reprises : En octobre 1945, il est élu député de la Creuse à la première Assemblée Constituante, sur la liste U.D.S.R. (Union Démocratique et Socialiste de la Résistance). Il sera réélu ensuite à la seconde Assemblée Constituante en juin 1946, sous la même étiquette mais à Paris cette fois.
    Il fut ensuite ministre du gouvernement Ramadier à partir de janvier 1947, avec trois portefeuilles, celui de la Culture, qui fut l’occasion pour lui d’inaugurer le Festival de Cannes, et de créer le Festival d’Avignon, celui de la Jeunesse et des Sports, qui fut l’occasion de promouvoir le scoutisme, et celui de l’Information.
    Là, il œuvra pour la libération de la presse, faisant notamment voter la loi de suppression de l’ « autorisation préalable » pour les journaux. Cela a pour effet immédiat d’établir la liberté de parution pour la presse écrite.
    Quelques mois plus tard, le 13 juillet 1948, Pierre Maillaud était retrouvé mystérieusement noyé suite à une sortie en voilier au large du Lavandou, au cours de ses vacances. Son corps, quoique repêché plusieurs semaines plus tard, permit aux « experts » de l’époque de conclure à une congestion pulmonaire… Il aura des funérailles dites « nationales ».
    Il disparut donc prématurément à l’âge de 39 ans.

    Enfin, l’épouse de Pierre Maillaud, Jeannette d’Albiez, la grand-mère paternelle de Mr Maillaud, était basque, tout comme son grand-père maternel, Raymond Paluat.