• Préambule

    Le Trouble Dissociatif de l’Identité (T.D.I.) est une maladie psychiatrique reconnue par des professionnels de la santé mentale, il existe une vaste littérature médicale sur le sujet. Le DSM-5 valide ce trouble en ces termes :

    « Présence d’au moins deux états de personnalité distinct et d’épisodes récurrents d’amnésie »

    Ce trouble doit être diagnostiqué par un professionnel compétent.

    Certaines personnes, notamment adolescents et jeunes adultes, peuvent utiliser et s’identifier à des termes tels que « personnalité multiple », « système », « alter » etc, de manière inappropriée et sans comprendre pleinement la complexité du TDI ; qui ne doit pas être confondu avec une simple expression de l'identité personnelle ou une tendance culturelle déviante.
    Certains psychiatres s’alertent et parlent d’une véritable « épidémie » d’autodiagnostics, un effet de mode entraînant une certaine confusion qui décrédibilise ce trouble auprès du grand public, mais aussi au sein même de la communauté psychiatrique, très peu formée sur les troubles dissociatifs. Il est important de comprendre que le TDI n’est pas un « mode de vie pluriel », une originalité narcissique ou une identité de genre. Il s’agit d’un trouble mental complexe pouvant causer des souffrances et des difficultés importantes pour les personnes qui en souffrent.
    Il est crucial de sensibiliser sur la différence entre les identités de genre, relevant d’un certain relativisme ou subjectivisme, et les troubles dissociatifs sévères relevant d’un passé extrêmement traumatique. Nous assistons à l’heure actuelle à une confusion généralisée provoquée par cette vague d’autodiagnostics, une appropriation de la condition à des fins d'identification personnelle ou de tendance culturelle pouvant non seulement nuire à la crédibilité du trouble, mais aussi à la santé et au bien-être des personnes qui en souffrent réellement.
    Le TDI est un trouble mental qui nécessite une attention et un traitement appropriés, au-delà des clichés et de la glamourisation véhiculés par le cinéma et les réseaux sociaux. Il est important de sensibiliser les professionnels de la santé mentale mais aussi le grand public sur les causes, les signes et les symptômes du TDI, afin de garantir un diagnostic et un traitement appropriés pour les personnes qui en souffrent réellement.

    C’est la raison pour laquelle ce dossier a été créé et diffusé gratuitement, en réponse à un manque d’informations sur le sujet dans la sphère francophone. Son contenu est extrait du livre « MK : Abus Rituels et Contrôle Mental » paru en 2016.

    Alexandre Lebreton, avril 2023

    Liens pour télécharger le dossier PDF : 

    https://www.fichier-pdf.fr/2023/05/06/la-personnalite-fractionnee-et-amnesique--comprendre-le-trouble-/

    https://fr.scribd.com/document/643292864/La-Personnalite-Fractionne-e-et-Amne-sique

    http://ekladata.com/8896Lor8cOTEvbLY_Vc28sAcg84

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    Trouble Dissociatif de l'Identité : Réelle Validation Médiatique ou Effet de Mode Dérivatif ?

    ➡️ https://www.youtube.com/watch?v=DnWPyTuOwTU

    La Crédibilité du Trouble Dissociatif de l'Identité en Péril Face à la « Culture Plurielle »

    ➡️ https://www.youtube.com/watch?v=MqxwVxWN32w

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  • Court métrage «Teenland» ; réalisé par Marie Grahtø Sørensen - Danemark, Allemagne (2014)

    Sally est enfermée à Teenland, une institution semblable à une prison pour des adolescentes étant tellement perturbées émotionnellement, qu’elles ont développé des pouvoirs surnaturels. Sally est terrorisée par cette institution à laquelle elle obéit au doigt et à l’œil... jusqu’au jour où elle rencontre la sociopathe « Clochette »…

    - Spoiler Alert -

    La scène d’introduction nous montre Sally à moitié nue, dans un état second, lors de ce qui pourrait s’apparenter à une séance de programmation sous monitoring. Nous la voyons soumise aux injonctions d’un obscur personnage dissimulé derrière un miroir sans tain… Le ton du court-métrage est donné…

    Il s’agit d’une représentation morbide et glauque du trouble dissociatif de l’identité. Plusieurs indices nous font comprendre que Sally est dissociée, fractionnée, et que la rebelle « Clochette » n’est qu’une de ses nombreuses personnalités alter. Nous voyons Sally naviguer tantôt dans son inner world, tantôt dans le monde réel. À plusieurs reprises l’alter « Clochette » apparaît puis disparaît mystérieusement, laissant Sally dans la solitude de cette prison psychiatrique. Elle soupçonne d’ailleurs que la forte personnalité « Clochette » ne soit qu’une voix dans sa tête.

    Notons que les personnalités alter de Sally ont toutes des pouvoirs psychiques surnaturels, Sally elle-même a des facultés de télékinésie. L’alter « Clochette », lors d’une violente prise de parole, affirme que le système (ensemble des personnalités alter de Sally) ne relève pas de la folie mais d’une bénédiction. « Dans l’antiquité, ils nous auraient appelé des Oracles ! » crie-t-elle…

    Nous retrouvons là les notions gnostiques en rapport avec le « déverrouillage spirituel » des enfants dissociés, brisés par les rituels initiatiques/traumatiques visant à les connecter à d’autres dimensions pour développer chez eux des facultés paranormales.

    Ce huis-clos oppressant à l’atmosphère extrêmement coercitive, une fois associé au trouble dissociatif de l’identité, peut effectivement laisser supposer, de manière implicite, que Sally pourrait-être une victime de contrôle mental basé sur les traumatismes (MK) ; fractionnée en plusieurs personnalités, subissant des électrochocs et des drogues pour être programmée.

    La scène finale nous montre l’alter monstre « Clochette » portant le numéro 999… nous apparaître à l’envers pour révéler le chiffre symbolique 666 marquant du signe de la bête cet obscur court métrage.

     


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  • Source : https://www.lequotidiendumedecin.fr

    De plus en plus de jeunes patients consultent pour un diagnostic de TDI ou de personnalités « multiples ». Or, dans la plupart des cas, les médecins et les psychiatres se retrouvent face à une allégation de pathologie à laquelle ils ont du mal à adhérer. Pourtant, ces maladies mentales existent. Éclairage à l’occasion du congrès de l’Encéphale 2023.

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  • Une compilation très dense et violente sur la pédocriminalité. De nombreux extraits de vidéos publiées depuis ces 20 dernières années. Montage anonyme. Une bonne vue d’ensemble sur le sujet pour ceux qui le découvrent.

    https://pedopolis.com/2023/03/09/pedoland-la-fin-du-silence/

     


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