À l'époque de cette archive vidéo, les francs-maçons affichaient fièrement devant une caméra un crâne humain en premier plan, symbolisant on ne sait quoi, si ce n'est qu'il s'agit de quelque chose de très morbide d'un point de vue profane.... Cette archive nous montre qu'il y a encore peu de temps, les francs-maçons disaient les choses clairement sans aucune retenue = leur total pouvoir sur la ripoublique (sur la France), affichant même des crânes humains devant les caméras comme un symbole... Chose inimaginable aujourd'hui, car il ne fait nul doute qu'aucun frère la truelle haut-gradé contemporain, n'oserait apparaître dans un reportage TV en arborant un crâne humain posé sur son bureau, tel un trophée.... et encore moins déclarer publiquement face à une caméra que la franc-maçonnerie a la main mise totale sur la ripoublique. Les temps changent, les méthodes de communication également, de nos jours tout est beaucoup plus subtil... que cette archive :

Voici un entretien avec Pierre Mazé (Éditions Nouvelle Terre) qui retrace l'histoire de Cathy O'Brien et Mark Phillips ou lorsqu'une escalve MK sort du réseau pour publier par la suite une autobiographie : "L'Amérique en pleine Transe-Formation".

➤➤ L'Amérique en pleine Transe-Formation : autobiographie de Cathy O'Brien

Sources : Newsweek, Trad. jsf - newsoftomorow.org

Dans son livre "Switching Time" (2007), un psychiatre détaille son cas le plus intriguant, une femme avec 17 personnalités. ➢ Trouble Dissociatif de l'Identité

Même pour un patient en psychiatrie, Karen Overhill semblait anormalement dépourvue d’espoir le jour de 1989 où elle s’est rendue au bureau de Chicago du Dr. Richard Baer. Au fur et à mesure des semaines et mois de thérapies, les antidépresseurs ne l’aidaient pas, tout du moins pas toujours. Elle était suicidaire – et la façon plate, sans émotion, avec laquelle elle affirmait son désir de mourir faisait craindre à Bear le pire. Finalement, Karen commença à s’engager dans des histoires d’abus pendant l’enfance et elle mentionna d’étranges absences de mémoire. Elle se retrouvait dans des endroits étranges sans se souvenir de la façon dont elle arrivait là. Elle ne pouvait pas même se souvenir avoir eu des rapports sexuels avec son mari, bien qu’elle dût en avoir, puisqu’elle avait deux enfants.

Bear soupçonnait un problème bien plus profond qu’une dépression et les pensées suicidaires que Karen avait avoué. Cependant, il garda pour lui son hypothèse pendant les quatre premières années de thérapie, par crainte d’introduire des idées dans l’esprit de Karen. Il attendait qu’elle lui fournisse volontairement l’information, en un sens, ce qu’elle finit par faire. En novembre 1993, une enveloppe avec l’adresse de retour de Karen advient dans son courrier. Il y avait à l’intérieur un seul morceau de papier quadrillé et une lettre écrite avec le gribouillage d’un crayon d’enfant. « Mon prénom est Claire », commença-t-elle. « J’ai 7 ans. Je vis dans Karen. »

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➤ Archive: le mystère Karen Mulder ! VSD - Janvier 2002 : "Le cri de détresse d'un grand top-model"