• ➤ Nordahl Lelandais et ses troubles dissociatifs ? Étranges déclarations aux "experts"

    Soit Nordahl Lelandais a joué la carte de la "psychiatrie" pour sa défense visant à le rendre irresponsable de ses actes, soit il a été totalement sincère face aux "experts psychiatriques", qui n'auraient alors pas reconnu dans ses déclarations des symptômes évidents de sévères troubles dissociatifs (faute de connaissances/formation ?) ou en ont-ils conclu que tout cela était négligeable ou qu'il s'agissait d'une tentative de manipulation de la part de la défense....

     http://mk-polis2.eklablog.com/affaire-maelys-les-etranges-declarations-dissociatives-de-nordahl-lela-a144889452

    Alain Soral sur l'affaire Maëlys et la pédocriminalité de réseau élitiste - Lelandais / Jakubowicz :

    « ➤ Trouble dissociatif de l'identité : à quoi ressemble de vivre avec de multiples personnalités➤ Un peu d'art #11 - Alma Haser »

  • Commentaires

    1
    Jack
    Mercredi 26 Septembre 2018 à 11:37

    Premièrement il se souvient de ce qu'il a fait, deuxièmement faire preuve de détachement durant une colère extrême, c'est un phénomène couramment observé, les regrets aussi. Il avait bu de l'alcool et même consommé de la drogue dure.... Vous voulez quoi de plus... Il dit avoir entendu des voix mais ne veut pas qu'on le prenne pour fou. Il parle à un expert, donc c'est raté et il le sait puisque c'est le but de la manoeuvre, se faire passer pour fou, et atténuer sa peine avec discernement altéré voire aboli au moment du passage à l'acte...

     

    Un psychopathe mis en examen dans d'autres affaires du même type...

    2
    Jack
    Jeudi 27 Septembre 2018 à 16:21

    On est tous ange et démon. Certains plus que d'autres. (Voire beaucoup plus). La cocaine donne cette impression de toute puissance, d'invincibilité. Mélangé à l'alcool, et à un trouble de la personnalité antisociale, il ne faut pas se leurrer sur les conséquences... Donc en résumé, sans ces prises, il n'aurait pas été dans cet état second. Pour les experts psychiatres, il n'y a pas de délire ou état second survenu de par la structure même de son cerveau, mais de par l'absorption de ces drogues. En somme, au yeux de la loi, il est responsable d'avoir ingéré ces drogues (circonstances aggravantes). Au moment de la chute d'un taux d'adrénaline extrême, c'est à dire au moment ou il réalise son geste, que le silence revient, il peut y avoir une fin temporaire de la notion de temps, voire une légère dissociation. On peut, dans le meilleurs des cas, le voir sous cet angle. Le reste, c'est de la broderie devant la perpétuité qui l'attend.

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    3
    Jack
    Vendredi 28 Septembre 2018 à 10:37

    En ajoutant que la perversion n'est pas considérée comme une maladie en psychiatrie, mais une déviance, éventuellement un trouble comme le trouble de la personnalité sadique (DSM3 si je me souviens bien). Autre point, la remémoration dans l'instant présent d'un évènement survenu antérieurement est tout à fait banal, encore plus en situation exceptionnelle. Yung appelait cela la sensation introvertie. L'odeur d'un gâteau qui rappelle votre mère parce qu'elle en cuisinait des semblables par exemple.

     

     

     

     

    4
    Jack
    Lundi 1er Octobre 2018 à 11:23

    "Jung" Carl 

     

     

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