• ➤ Extrait du livre du criminologue Michael Salter "Organised Sexual Abuse"

    ➤ Extrait du livre du criminologue Michael Salter "Organised Sexual Abuse"Voici un récit poignant concernant une jeune femme nommée Sarah, qui, avec l'aide de Michael Salter, essaie à plusieurs reprises de s'extraire de l'emprise puissante d'un groupe hyper-violent. Cet extrait décrit comment la justice et les institutions de santé ne parviennent pas à répondre à sa situation...

    Extrait du livre "Organised Sexual Abuse" - Chapitre 5, p.79 - 85

     - Avec le recul, il me semble maintenant que le harcèlement et les violences qu'a subi Sarah étaient très similaires à ce que rapportent les femmes fuyant de la violence conjugale. Elle était terrorisée par les menaces qu'elle recevait par téléphone ou par courriel, et régulièrement des hommes l'attendaient auprès de chez elle ou de son travail. Pour assurer sa sécurité, nous avons fait en sorte qu'elle soit déposée et reprise à son travail par moi ou des amis. La sureté de notre nouveau logement locatif dépendait de nos moyens limités. Nous avons commencé à mettre au point des stratégies pour veiller à ce qu'elle mange bien, qu'elle dorme bien et qu'elle accède aux services de santé lorsqu'elle en avait besoin. Avec des encouragements, Sarah était capable de trouver les soutiens dont elle avait besoin, et mon rôle était de fournir une présence lui apportant un ancrage et de la stabilité ; de sorte qu'elle ne soit pas seule lorsqu'elle se sentait submergée par la dépression ou les souvenirs d'abus. Une grande partie de mon temps passé à prendre soin d'elle s'est passé la nuit lorsqu'elle luttait contre un nouveau flashback, lui tenant la main en essayant de la faire revenir dans l'instant présent. La manière dont ses souvenirs se manifestaient de manière somatique n'avait rien de surprenant. Une fois sa température corporelle s'est mise à chuter de façon spectaculaire et ses lèvres sont devenues bleu. Elle était glacée au touché et a commencé à parler d'un souvenir d'enfance dans lequel elle a été submergée et presque noyée dans un bain d'eau glacée. Ce fut seulement après qu'elle ait été en contact avec quelques bouteilles d'eau chaude et plusieurs couvertures que j'ai décidé de ne pas appeler une ambulance.

    Je dois avouer que, jusqu'à ce que Sarah et moi avons partagé un même logement, j'avais quelques doutes au sujet de ses témoignages sur les abus organisés. Le niveau et l'authenticité de détresse de Sarah n'était pas à remettre en question, mais je n'étais pas tout à fait certain quand à sa source. Néanmoins, il ne fallut pas longtemps avant que je sois confronté à la preuve irréfutable que l'histoire de Sarah concernant des abus organisés n'était pas de l'histoire ancienne, mais quelque chose de toujours en cours...

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    Un mois après que Sarah et moi nous sommes installés ensemble, elle n'est pas rentrée pas du travail. Cette nuit là, j'ai reçu un texto de sa part et je l'ai finalement retrouvé en ville, à moitié inconsciente au bord d'une route. Elle était trempée, comme si elle venait de prendre une douche, et elle avait de profondes marques aux poignets et aux chevilles montrant qu'elle avait clairement été attachée avec une corde. J'ai immédiatement appelé une ambulance et je l'ai accompagné. Une fois à l'hôpital, j'ai rapidement constaté comment des preuves évidentes pouvaient être finalement toutes relatives. Aux yeux des médecins et de la police, les marques sur les poignets et les chevilles de Sarah étaient moins importantes que son refus de leur permettre de l'examiner pour une agression sexuelle. À l'hôpital, elle était terrifiée à l'idée d'un examen interne et sa non coopération a été interprétée par la police et les médecins d'une manière négative.

    Dans une interview, Sarah a rappelé : L'une des choses importantes pour moi à l'hôpital était que je ne voulais pas que les médecins me touchent ou me prennent en photos. Et si j'avais dis : oui, vous pouvez m'examiner ; je crois qu'ils nous auraient davantage cru, c'était le fait que je ne les laissais pas... Toute autre preuve (comme la brûlure de la corde) qui ne correspondait pas aux choses spécifiques que vous recherchez dans une agression sexuelle n'était pas pris en compte. Je me souviens d'eux qui cherchaient - parce que vous êtes censé regarder sous les ongles des doigts, vous êtes censé chercher des plaies défensives - et bien sûr je n'avais pas de sang sous mes ongles, parce que dans cette situation (abus organisés), je ne me défends pas. Je me souviens d'eux regardant mes mains et disant "non, il n'y a rien sous ses ongles", pensant que j'affabulais.

    C'était la même incrédulité à chaque admission ultérieure à l'hôpital. Malgré tous nos efforts, Sarah "disparaissait" une fois par mois pour ne réapparaître qu'à moitié consciente dans différentes parties de la ville ou bien en zone limitrophe avec la campagne. Les trois ou quatre premières fois où cela s'est produit, j'ai appelé une ambulance pour l'amener à l'hôpital. Elle avait souvent des hématomes et des ecchymoses et je n'avais aucun moyen de connaître l'étendue de ses blessures sans une évaluation médicale appropriée. Fait important, je voulais que soit produit un registre des attaques faites contre elle pour une certaine reconnaissance officielle de son sort. Je pensais que lorsque les preuves des abus contre Sarah se seront accumulées, les médecins et la police interviendraient pour sa situation que je commençais à trouver intolérable et hors de contrôle. Toutefois, les médecins et les police avaient une approche très protocolaire pour évaluer la crédibilité des plaintes pour viol. Puisque Sarah ne s'est pas conformée à ce protocole, elle a malheureusement été considérée comme n'ayant pas la légitimité d'attention ou de préoccupation malgré ses blessures. Ils ont également précisé que des questions se posaient quand à la légitimité de ma relation avec Sarah, des questions qui, surtout à l'hôpital, ont éclipsé ce qui se passait réellement pour elle. Ma présence à ses côtés à chacune de ses admissions à l'hôpital nous ont valu d'être accusés d'une sorte de folie à deux par le personnel hospitalier ; ou pire encore, que j'étais responsable des blessures que le groupe violent infligeait à Sarah.

    Sarah a ainsi décrit les efforts du personnel de l'hôpital pour justifier leurs soupçons à mon sujet :

     C'était tellement bizarre à l'hôpital. Ils demandé à cette psychiatre de venir me parler, d'abord elle m'a demandé : "Alors, pensez-vous que Michael vous croie ?" Ce à quoi j'ai répondu : "Oui". Elle m'a dit : "Croyez-vous qu'il vous croie trop ?" Et je ne savais comment répondre à cette question. "Pensez-vous que Michael se soucie de vous ?" J'ai répondu "Oui" et elle a dit "Croyez-vous qu'il s'intéresse trop à vous ?" et j'ai dit "Peut-être". Je me sentais coupable ; ils m'ont sérieusement posé toutes ces questions. Puis elle m'a demandé : "Eh bien pourquoi pensez-vous qu'il se soucie trop de vous ?" Et j'ai dit quelque chose comme "J'ai fais une erreur, je n'aurais pas dû le faire." - Cela parce que je me sentais coupable, j'avais honte, je m'étais échappé du groupe et il était quatre heure du matin et que tu étais réveillé, effrayé et inquiet pour moi. Mais l'hôpital avait obtenu de moi la réponse qu'ils voulaient, et je ne réalisais alors pas ce qu'ils faisaient. La fois d'après où j'ai finie à l'hôpital, la même psychiatre est venu me dire : "Eh bien, vous avez dit des choses vraiment intéressantes à propos de Michael la dernière fois." Elle avait toutes ses notes devant elle et me rappelait : "Michael se soucie trop de moi." Une autre note disait quelque chose comme "J'ai fais une grosse erreur." Et j'allais juste lui répondre "Non, non non, vous ne comprenez pas..." et je pensais en même temps "Mon Dieu, c'est comme dans une série télévisée TV, c'est comme un interrogatoire. Ils m'ont complètement coincé lorsque j'étais totalement vulnérable. Ils voulaient absolument croire que nous étions des gens délirants.

    Durant cette hospitalisation, nous avons été séparés pendant plusieurs heures durant lesquelles le personnel tentait d'encourager Sarah à m'impliquer dans ses abus. Étant rassuré par le temps qu'ils passaient avec elle, je m'étais endormi dans la salle d'attente. Je supposais que, finalement, elle recevait les soins dont elle avait besoin. Ce fût un grand choc lorsque j'ai finalement été autorisé à la voir. Je l'ai trouvé en train de boiter dans les toilettes, courbée de douleurs et de honte. Elle avait enveloppé la couverture de l'hôpital autour d'elle aussi étroitement que possible, comme un cocon, avec seulement une ouverture pour ses yeux. Ses paupières flottaient de traumas et de dissociation alors qu'elle parcourait le couloir essayant désespérément de couvrir la petite robe de l'hôpital avec la couverture. Deux policiers étaient là, appuyés contre le mur, la regardant sans lui offrir aucune aide. Alors qu'ils plaisantaient à son sujet, leurs visages me faisaient dire qu'il était clair que nous ne devrions plus jamais revenir ici.

    Cette dernière admission à l'hôpital a été, comme je l'ai écris dans mon journal à l'époque, un événement qui a fondamentalement changé ma perception des "choses". L'espérance qu'une force extérieure, une institution, interviendrait pour protéger Sarah s'était envolée. Nous avons vite découvert que nous n'aurions aucun recours auprès de la police. Ayant été désigné persona non grata au cours de ces admissions à l'hôpital, il n'y avait rien qui puisse les convaincre du mérite de nos rapports. Comme par exemple la fois où en rentrant du travail, la maison que je partageais avec Sarah avait été forcée par des individus. Les murs avaient été peints avec de la peinture rouge et du sang animal. D'étranges symboles rouges avaient été peints sur nos murs et nos draps et j'ai retrouvé un organe animal déposé sur mon lit. Une tasse pour bébé remplie de sang et d'abats d'animaux était posée sur le bureau de Sarah avec un autocollant enfantin sur lequel était écrit : "Buvez moi !" J'ai appelé la police qui a prit en photos "l'acte de vandalisme" ainsi que les empreintes digitales. L'équipe de médecins légistes nous a conseillé de changer nos noms et de quitter l'État. Une fois qu'ils sont partis, nous n'avons plus jamais entendu parler d'eux.

    Nous vivions dans ce sentiment de vidé créé par la négligence de la police et des services médicaux, et dans une telle situation, la seule action qui me restait à faire était de prendre soin de Sarah du mieux que je pouvais. J'essayais de l'aider à manger, à dormir, à reprendre de la force, tout en sachant que la prochaine attaque pouvait arriver dans quelques jours ou dans quelques semaines. Nous avions prit contact avec les services locaux aidant les victimes d'agressions sexuelles, mais aussi avec des psychologues et des thérapeutes. Nous avons trouvé un certain nombre de professionnels qui connaissaient le problème des abus organisés et qui sympathisaient avec la situation de Sarah. Cependant, ils étaient mal placés pour répondre au besoin essentiel de Sarah, qui n'était pas la thérapie en soi, mais plutôt sa mise en sécurité vis à vis des abus. Il me semblait que nous étions pris au piège dans un cercle vicieux : lutter pour stabiliser la santé mentale fragile de Sarah, conséquence des abus, tout en étant incapable de faire cesser ces abus organisés. Afin de décourager la volonté de Sarah à vouloir se protéger, les bourreaux la harcelaient par des menaces téléphoniques, par SMS ou par courriel. Pendant quelques semaines, nous avons reçu les appels réguliers d'une femme qui affirmait que ses enfants étaient victimes de sévices sexuels en raison du fait que Sarah ne se permettait pas d'être maltraitées selon les instructions. Parfois le téléphone était arraché des mains de cette femme par un homme qui, dans un cas mémorable, m'a menaçé de me tuer. J'avais pris l'habitude de dormir avec un couteau sous mon lit. Quand Sarah était forte, elle était capable de résister aux harcèlements, aux menaces et aux chantages, mais si elle se sentait vulnérable ou effrayée, elle pouvait quitter la maison et "disparaître" pendant des heures. 

    Après les "disparitions" de Sarah, cela pouvait prendre des jours ou des semaines avant que les ecchymoses et les brûlures disparaissent. Ce n'était pas seulement des marques de violence, c'était de la torture. Après un épisode particulièrement épouvantable, disparut la veille, elle réapparut à l'aube à l'entrée de la maison. Elle avait de la difficulté à marcher et elle hésita lorsque je voulu l'aider à marcher jusqu'à sa chambre. La peau du ventre et de son dos était enflammée, je ne lui ai pas demandé pourquoi, et elle ne me l'a pas dit. Ce ne fût que quelques jours plus tard, lorsque l'inflammation s'était calmée, que j'ai vu des lignes sur sa peau. Quelqu'un avait tracé des symboles sur son corps à l'aide d'un outil chauffé à blanc. J'étais horrifié mais aussi désespéré. Il y avait là encore des preuves physiques des abus continuels. Mais où pouvions-nous aller ? Que pouvions-nous faire ? Un e-mail envoyé aux détectives locaux m'était revenu, ils m'avaient donné une mauvaise adresse et ils ne donnaient pas suite aux appels ou messages téléphoniques. Nous étions coupés de l'aide extérieure, et l'hôpital avait précisé qu'ils soupçonnaient que je pourrais être responsable des blessures de Sarah.

    Mon optimisme initial, concernant la rupture des contacts entre Sarah et le groupe violent, ainsi que ma foi dans les autorités, tout cela me semblait maintenant irréalisable (...) Je prenais conscience de la complexité de notre lutte pour garder Sarah en sécurité, en fait c'était une guerre menée sur deux fronts. Le premier était l'environnement extérieur de Sarah, un monde où ces hommes pouvaient l'attendre patiemment à proximité de notre maison ou de son travail avec l'intention de l'embarquer dans une voiture en attente. C'était un monde effrayant, mais dans lequel, au moins, je pouvais faire une différence. Par exemple en m'organisant pour aller à sa rencontre sur son lieu de travail pour s'assurer qu'elle était en sécurité ou pour faire le chemin avec elle. Cependant, le second front était l'environnement mental de Sarah, que je commençais à découvrir peu à peu. Celui-ci hébergeait des forces qui lui voulaient du mal tout aussi violemment que ces hommes anonymes. L'attachement de Sarah au groupe violent était ancré par toute la terreur, la honte et la loyauté accumulées depuis de nombreuses années. Ce sont des émotions d'une telle intensité qu'elles sont au-delà du raisonnement, obligeant Sarah à se mettre dans des situations à risques en dépit de son désir profond de se libérer des abus et de la douleur.

    En relisant mon journal tenu à cette période là, il est indéniable que le temps que j'ai passé à aider Sarah était souvent sombre et effrayant. Cependant, mes sentiments d'épuisement, de désespoir et de colère ont servis de contrepoids important vis à vis de la réaction habituelle de Sarah aux abus, qui était de s'engourdir et de se dissocier des séquelles émotionnelles. Même lorsqu'elle se sentait vulnérable aux manipulations et aux menaces du groupe violent, elle savait qu'elle ne pouvait obéir à leurs instructions (les retrouver pour les abus) sans me causer une grande détresse et de l'anxiété. Ce sens de la responsabilité vis à vis de moi a servi de point d'ancrage que Sarah pouvait utiliser pour combattre la pulsion de se mettre en danger. De plus, mon sentiment d'horreur devant la violence du groupe a permis l'expression des réponses émotives de Sarah, longtemps refoulées. Le fait même que je trouvais les abus insupportables a validé sa propre expérience de victimisation comme quelque chose d'atroce, plutôt que comme quelque chose qu'elle méritait et devait apprendre à supporter. Cela a créé un pont entre le monde secret construit par le groupe violent, avec sa logique prédéterminée de torture et d'exploitation, et un état plus libre dans lequel elle pouvait déterminer la direction de sa propre vie.

    Ce sont des circonstances qui auraient probablement dû éroder notre amitié. Les agresseurs avaient élaboré une situation insupportable où nous nous sentions isolés et seuls. Ils ont essayé de nous monter l'un contre l'autre, racontant à Sarah que j'étais l'un deux tout en me disant au téléphone qu'elle était une "salope" qui "réclamait" le traitement qu'ils lui infligeaient. Cependant, notre détermination s'est maintenue et renforcée, et au fil du temps il est devenu évident que nous avons modifié progressivement le cycle d'abus et de honte qui avait lié Sarah à ce groupe. Dans le cadre de notre amitié, Sarah vacillait entre les identités qui avaient été construites par les abus déshumanisant et un potentiel basé sur une vue d'elle même précieuse et méritante d'amour : sachant qu'elle pouvait me faire confiance même lorsqu'elle ne le pouvait pas. En tant qu'amis et soignant, j'étais comme quelqu'un d'une valeur intrinsèque et j'ai donc servi de point de référence stable pour qu'elle développe un sens de soi autre que celui basé sur les humiliations et les abus. Au fil du temps, les courriels menaçants et les appels téléphoniques que recevait Sarah ne semblaient plus aussi convaincants. La logique que le groupe utilisait pour la manipuler résonnait encore, mais elle n'y était plus autant réceptive qu'avant. Elle pouvait prendre du recul face aux menaces et envisager la manière la plus constructive de réagir.

    Sarah a commencé à faire des progrès importants dans de nombreux domaines de sa vie. Elle a trouvé de nouveaux amis, elle a commencé à sortir. Elle s'est inscrite dans un programme intensif pour les victimes de traumatismes et a considérablement amélioré sa santé mentale. Elle a commencé à bien manger et à dormir plus régulièrement. Ses conversations au jour le jour étaient de plus en plus préoccupées par des plans à moyen et long termes concernant son éducation et sa carrière. Au fil du temps, il est devenu clair que Sarah n'avait plus besoin du soutien intensif que j'avais pu lui fournir jusque là. Elle a toujours été férocement indépendante par nature et elle était déterminée à aller de l'avant dans sa vie. En attendant, j'avais moi-même besoin de temps de d'espace pour me remettre de cette période d'anxiété et d'épuisement, ainsi que pour prendre du recul et examiner les implications de ce que j'avais vécu. Nos deux vies avaient partagé une trajectoire commune pour une période de temps, et maintenant nous devions suivre différentes directions, même si nous nous sommes séparés avec la compréhension mutuelle que, ensemble, nous avions accompli quelque chose de très important.

    Source : http://bornepress.com/michael-salter-on-organized-abuse/ - Traduction MK-Polis

    ➤ Interview du criminologue Michael Salter sur les abus rituels - par Lynn Schirmer

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  • Commentaires

    1
    anon
    Lundi 28 Novembre 2016 à 01:27

    Nous nous devons de nous organiser face à ces barbares.

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    2
    Bina
    Lundi 28 Novembre 2016 à 10:14

    Salutation,

    Pourriez-vous faire un article sur le film 'A serbian film" qui est considéré comme un chef-d'oeuvre dans le milieu artistique (sic!). Je n'arrive toujours pas comprendre comment ce genre, si on peut appeler ça un genre, de film puisse trouver preneur et surtout un public parmi cette jeune génération.....je reste dubitative face à ça.

    Un film qui ne doit pas être regardé à la légère mais avec précautions....âmes sensibles s'abstenir!!beurk

    Merci, cordialement

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