• ➤ Comprendre les sociétés secrètes modernes à la lumière des cultes à Mystères - Dionysos

    ➤ Comprendre les sociétés secrètes modernes à la lumière des cultes à Mystères - DionysosIls le conduisent dans un endroit qui résonnait de cris, de chants, de musique avec des frappements de cymbales et de tambours, de sorte que la voix de l'initié ne puisse pas être entendue alors que des pratiques honteuses étaient perpétrées sur lui avec violence...

     

     

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    1
    Vendredi 14 Juin 2019 à 21:19

    Dans son livre "Jacob Frank, le faux messie", Charles Novak écrit :

    "Jacob Frank prêche, pour les jeunes filles, le sexe dès le plus jeune âge, les orgies sexuelles pour les jeunes garçons et l’échange de femmes pendant Shabbat. Au point que certains enfants frankistes ne connaissent pas leur vrai père biologique (ndlr : on pense à Carla Bruni, probablement esclave sexuelle MK). Jacob et ses adeptes seront surpris en plein Shabbat orgiaque, en janvier 1756, dans la ville de Landskron et seront, à la demande des rabbins, expulsés de la ville pour orgie. Une femme se tenait au milieu, nue, pendant que les adeptes masculins chantaient la prière juive schabbatique : Lekhu doidi likrass kalo (Prière que l’on chante chaque vendredi soir, pour fêter la venue du Shabbat. Instituée par le rabbin Alkabets au XVIe siècle). Puis, ils se précipitaient sur elle, transformant le rituel en orgie collective. Les rites sexuels frankistes, par la suite, consistaient en chansons, danses extatiques, mêlant hommes et femmes. Frank s’agenouillait et fixait deux chandelles allumées à un banc de bois, enfonçait entre celles-ci un clou et brandissait la croix dans toutes les directions, s’exclamant : Forsa damus para vert, seibuml grandi asserverti (judéo-espagnol), Donne-nous la force de te voir, le grand bonheur de te servir. Les lumières étaient ensuite éteintes, les hommes et les femmes se dévêtaient et l’orgie collective commençait, la nudité devant rappeler Adam et Eve avant la chute. Frank, quant à lui, ne participait pas. Il restait au milieu, dans une contemplation mystique (...) Les frankistes étaient connus pour leurs orgies sexuelles collectives parfois violentes. Par ces comportements nihilistes, où le 9 av devenait une fête de joie, on s’échangeait les femmes, là où l’on voulait détruire tout dogme : "Pour que le vrai Bon Dieu apparaisse", selon ses propres termes."

    2
    merci
    Samedi 15 Juin 2019 à 11:23

    abus sexuels sur enfants

    https://nopedozone.wixsite.com/mobilisation/blog

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    3
    Mardi 18 Juin 2019 à 21:54

    Il  exixte bien un Réseau de pédophile sur  Angers Réseaux  Connection 

    Le réseau pédocriminel dépasse encore du côté d'Angers

     

    2019-06-16 21_26_13-Angers _ un couple suspecté de pédophilie sur ses quatre enfants _ www

    En ce mois de juin, les médias ont évoqué l’affaire d’un couple de pédophiles qui n’hésitaient pas à prêter leurs enfants, dans la région d’Angers. Au même moment, deux types qui ont été condamnés dans le cadre du réseau pédophile d'Angers se retrouvent à nouveau condamnés pour des faits similaires. L'occasion de faire un focus sur le réseau local.

    L’affaire du couple en question a été présentée de manière banale : quatre enfants de 4 à 16 ans issus d’une même fratrie, placés en famille d’accueil depuis juillet 2018, ont dénoncé des violences sexuelles commises par leurs parents et par des membres de la famille

    Une banale histoire de récidive

    Les parents ont été placés en garde-à-vue le 7 juin puis la mère, âgée de 45 ans, a été libérée. La justice ne voulait pas communiquer [1] mais les médias locaux semblaient assez fixés sur cette affaire.

    2019-06-16 21_20_16-Angers _ un couple suspecté de pédophilie sur ses quatre enfants - Opera

    Il est vrai qu’Angers évoque un important procès de réseau pédophile, qui a eu lieu en même temps que l’affaire d’Outreau, avec à la clé une soixantaine d’adultes condamnés, tous issus des classes populaires.

    Le couple de pédocriminels présumés a été mis en examen pour des viols et violences sur les quatre enfants. Ceux-ci ont parlé de "sévices commis aux domiciles d’Angers, mais également de Saint-Barthélemy-d’Anjou, à l’est d’Angers, là où la famille habitait avant de déménage (…) Les enfants mettent également en cause d’autres membres de la famille pour des faits de même nature qui auraient été commis lors de périodes de vacances. Au Mans, où réside un frère d’un des parents. Ou en Vendée".

    La famille était pourtant suivie par les services sociaux depuis 2011 via une AEMO (assistance éducative en milieu ouvert), et était placée sous curatelle renforcée.Une semaine plus tard, on apprenait que deux frangins étaient condamnés à Nantes pour des atteintes sexuelles sur un enfant de 4 ans et pour non dénonciation.

    2019-06-16 21_29_43-NantesRien d'exceptionnel, comparé aux crimes qui défilent dans les tribunaux pour des violences sexuelles graves contre des enfants, si ce n’est que ces deux-là, les frères Philippe et Didier R. (je ne mets pas le nom car leurs enfants, victimes, portent le même), ont déjà été condamnés en 2005 lors du procès du réseau pédophile d’Angers. Et ils ont obtenu un aménagement de peine en 2017.

    is n'étaient sortis de prison depuis quelques mois seulement quand l’un d'eux a invité une amie, alcoolique sur les bords, avec son fils de 4 ans, alors que le suivi judiciaire leur interdit tout contact avec des enfants. L’agresseur a pris 10 ans, l’autre 36 mois de prison.Alors qu’un grand nombre de psys considèrent que les violences sexuelles sont le crime qui entraîne le moins de récidive (car il se basent sur les chiffres de la justice qui condamne rarement les pédocriminels), la réalité semble transpirer derrière cette histoire : un pédophile agit dès qu’il en a l’occasion, qu’il soit ou non en état de récidive. Car les peines sont loin d’être dissuasives (9 ans en moyenne pour viol, sachant qu’ils sont libérables à la moitié de leur ‘peine’).Un peu plus tôt dans l'année, près de 500 enfants ont été entendus suite à l'arrestation d'un pédo de 25 ans à Angers, pour des viols sur ses neveux et sur "des enfants de la région". Le type, doté d'un CAP petite enfance, trainait sur le Dark Net pour rencontrer d'autres pédos et organiser sur ses neveux des actes relevant de la "torture et barbarie".

    Le procès d’Angers et les dossiers connexes

    reseau 1

    Le procès du réseau pédophile d’Angers en 2005, c’étaient 65 accusés et 45 enfants victimes, âgés de 6 mois à 12 ans. L’enquête avait été ouverte suite à une plainte déposée en novembre 2000 par une adolescente de 16 ans, pour des faits survenus entre 1991 et 1993 visant les frères Joubert. Les faits incriminés, pour la justice, s’étendaient de janvier 1999 à février 2002.

    A l’origine du réseau qui s'est constitué à Angers, il y avait un pédophile déjà condamné, un certain Eric Joubert, qui fréquentait le coupe V. (Franck et Patricia) depuis sa sortie de prison. Assez vite, les viols des enfants V. puis d'autres enfants de l'entourage deviennent un business, et madame tient la caisse.

    A Angers, trois "pôles" de proxénètes d’enfants ont été identifiés : Eric Joubert et son frère, le couple V (Franck et Patricia), et deux autres frères, Didier et Philippe R., qui viennent donc d’être à nouveau condamnés à Nantes. Il y aussi des auteurs qui n’ont jamais été identifiés, des films qui n’ont jamais été retrouvés, des dossiers qui ont été séparés du dossier principal…

    2019-06-16 21_36_59-[Réseau de pédophilie à Angers] - YouTube - OperaCe sont Eric Joubert, également père de famille, et son frère, que l’adolescente a dénoncés en 2000. A ce moment, Eric venait de purger 2 ans de prison pour des abus sur mineur et était placé sous curatelle, et son frère faisait de son côté 10 ans de prison.

    Plusieurs pédophiles déjà condamnés (une dizaine tout de même) ont été identifiés parmi les abuseurs, ce qui avait à l’époque, vaguement, posé la question du "suivi" des pédocriminels après leur libération. Autant dire qu’il n’y en avait pas, et cela n’a pas changé.

    Une dizaine d’individus parmi les accusés avaient déjà été condamnés pour des faits de pédophilie, comme une certaine Margaret D. amie d’enfance de Franck V., avait été condamnée en 1996 à 2 ans de prison pour des violences sur ses enfants de 4 et 5 ans. Dans l’affaire d’Angers, elle a avoué avoir touché environ 400 F par semaine pour amener son fils chez les V.

    2019-06-16 21_50_34-Le réseau pédophile d'Angers - YouTube - Opera

    Ledit Joubert, en effet, ne perdait pas de temps : "Dès sa sortie de prison en mars 1999, alors qu'il était encore sous contrôle judiciaire, il aurait multiplié les concubinages avec des femmes fragiles, dont les enfants ont été victimes d'abus sexuels"précisait un article du Télégramme du 8 mars 2002.On apprenait aussi lors du procès qu’une bonne partie des adultes accusés avaient eux aussi été victimes de violences sexuelles dans l’enfance, souvent par des gens de leur propre famille. Par exemple, le père de Franck V, Philippe, condamné à 13 ans de prison en 1991 (libéré en 1998) pour avoir violé son fils Franck lorsqu’il était adolescent, était l’un des accusés du procès d’Angers pour les viols de ses petits enfants[2]. De même que le beau-père de Patricia V, qui l’aurait violée quand elle avait 6 ans, ou encore Jean-Jacques R., le père des frères R., qui ont été nouveau mis en examen récemment.

    2019-06-16 21_42_58-Le réseau pédophile d'Angers - YouTube - Opera

    Il y a aussi Moïse C., reconnu travailleur handicapé en 1989 et placé sous curatelle depuis 2001, venait d’être condamné lorsque le procès s’est ouvert. Il avait pris 12 ans de prison en 2003, pour des viols sur mineurs, et deux ans pour des agressions sexuelles, toujours sur des enfants, l’année suivante. Sa défense était basique, mais elle s’est avérée efficace ailleurs : il ne connaissait pas le couple V., ni aucun des protagonistes de l’affaire.Les accusés vivaient tous des minimas sociaux, excepté un journaliste et une assistante sociale. Et puis, il y avait ces notables : "Des accusés et des enfants décrivent des scènes avec des inconnus cagoulés, identifiés pour certains. Mais pas tous: nul ne sait qui sont les «costards-cravate» ni la «femme tatouée» dont parlent des accusés", précisait L’Express du 28 février 2005.

    2019-06-16 21_48_39-Le réseau pédophile d'Angers - YouTube - Opera

    Il y avait aussi le carnet de Franck V, avec des noms dans toute la France, ce qui est assez étonnant pour un type jamais sorti de son bled. Mais, on n'a jamais entendu parler d'autres procès ailleurs en France, en lien avec l'affaire d'Angers.

    Mais, tout ce volet qu’on pourrait appeler le "second cercle", a été séparé de la procédure qui a été jugée en 2005. Il n’a rien donné par la suite, ce qui n’est pas sans rappeler le fameux "dossier bis" de l’affaire Dutroux, celui qui portait sur les complicités politiques et policières notamment, et qui n’a bien-sûr jamais été jugé. En Belgique où il s’agit d’une véritable spécialité, on appelle cela le "sauciçonnage" des dossiers.

    A l’audience, Franck V. a gardé le silence sur la quasi-totalité des faits, il a refusé de donner les noms des clients, et Patricia s’est en grande partie rétractée, comme l’a fait Badaoui. Sauf que si on a cru Badoui quand elle a "innocenté" ses co-accusés, ce ne fut pas le cas à Angers.

    2019-06-16 22_19_16-Lourdes peines au procès d'Angers - Opera

    Quand il a été demandé à la "comptable  de la bande, Patricia V. (Franck ne savait pas compter), d’où venait l’argent, elle a cité Eric Joubert mais pour le reste, elle a déclaré " je ne peux pas parler…" malgré les nombreuses relances des magistrats et avocats.

    Car des gens cagoulés ont défilé chez elle pour violer ses enfants, et ceux qui lui étaient amenés. Si certains étaient des proches connus des enfants, ce n'était pas le cas de tous ces individus masqués, selon la chef de la section de recherches qui a travaillé sur cette affaire.

    Plusieurs des accusés ont mentionné les "cagoulés", par exemple un certain Georges, a évoqué ces cagoulés qui passaient chez les V., dont un type d’une soixantaine d’années avec un caducée au revers de sa veste. "Véronique R." a dit qu’elle aussi avait vu passer ces types chez les V. Il y avait aussi une femme, habillée de cuir, avec une cagoule en cuir et un tatouage.Aucune preuve n’a été trouvée, mais certains accusés ont expliqué qu’une réunion a été organisée avec plusieurs protagonistes, dans le but de brûler toutes les photos et vidéos qui auraient pu être dérangeantes. Et quand les policiers ont tenté de perquisitionner un garage appartenant à Philippe V., celui-ci avait été fracturé et vidé.Une quinzaine de lieux de débauche auraient été identifiés par les enquêteurs, aux domiciles des accusés notamment.

    2019-06-16 21_37_37-[Réseau de pédophilie à Angers] - YouTube - Opera

    Mais, comme dans l’affaire d’Outreau, aucune photo ni aucun film pédoporno n’ont été retrouvés.

    Comme à Outreau, aucune rupture d’hymen n’aurait été identifiée chez les filles, ce qui n’est pas surprenant mais révèle juste que déjà à l’époque, les pédos savaient comment s’y prendre pour éviter de laisser des traces trop identifiables.

    Comme à Outreau, c’est la femme la plus impliquée, en l’occurrence Patricia V., qui a confirmé les accusations et balancé le réseau, du moins une partie.

    Comme à Outreau, les services sociaux suivaient la plupart des familles. Et selon le Christian Gillet, vice-président du conseil général chargé des affaires sociales "Dans la majorité des cas, il y a eu des signalements pour carences éducatives. Et quelques-uns pour suspicion d'abus sexuels". Plusieurs signalements ont été faits en 1999 et 2000, par l’école et la mère d’une des victimes, mais aucun n’a abouti bien que plusieurs pédophiles connus et même encore suivis[3] trainaient dans l’entourage des victimes.

    Eric JComme à Outreau, les enfants étaient à peine défendus, avec un avocat pour 42 enfants, face à une soixantaine d’avocats pour les accusés.

    Mais contrairement à Outreau, un tiers des accusés -au moins- ont avoué les faits qui leur étaient reprochés, même s'ils se sont souvent rétractés ensuite.

    On constate qu’une première famille qui se met à vendre ses enfants inspire vite ses voisins, qui eux aussi veulent quelques billets. Patricia V a dit qu’ils récupéraient ainsi

    Le réseau pédocriminel dépasse encore du côté d'Angers

     

    2019-06-16 21_26_13-Angers _ un couple suspecté de pédophilie sur ses quatre enfants _ www

    En ce mois de juin, les médias ont évoqué l’affaire d’un couple de pédophiles qui n’hésitaient pas à prêter leurs enfants, dans la région d’Angers. Au même moment, deux types qui ont été condamnés dans le cadre du réseau pédophile d'Angers se retrouvent à nouveau condamnés pour des faits similaires. L'occasion de faire un focus sur le réseau local.

     

    L’affaire du couple en question a été présentée de manière banale : quatre enfants de 4 à 16 ans issus d’une même fratrie, placés en famille d’accueil depuis juillet 2018, ont dénoncé des violences sexuelles commises par leurs parents et par des membres de la famille.

     

    Une banale histoire de récidive

    Les parents ont été placés en garde-à-vue le 7 juin puis la mère, âgée de 45 ans, a été libérée. La justice ne voulait pas communiquer [1] mais les médias locaux semblaient assez fixés sur cette affaire.

    2019-06-16 21_20_16-Angers _ un couple suspecté de pédophilie sur ses quatre enfants - Opera

    Il est vrai qu’Angers évoque un important procès de réseau pédophile, qui a eu lieu en même temps que l’affaire d’Outreau, avec à la clé une soixantaine d’adultes condamnés, tous issus des classes populaires.

    Le couple de pédocriminels présumés a été mis en examen pour des viols et violences sur les quatre enfants. Ceux-ci ont parlé de "sévices commis aux domiciles d’Angers, mais également de Saint-Barthélemy-d’Anjou, à l’est d’Angers, là où la famille habitait avant de déménage (…) Les enfants mettent également en cause d’autres membres de la famille pour des faits de même nature qui auraient été commis lors de périodes de vacances. Au Mans, où réside un frère d’un des parents. Ou en Vendée".

    La famille était pourtant suivie par les services sociaux depuis 2011 via une AEMO (assistance éducative en milieu ouvert), et était placée sous curatelle renforcée.

    Une semaine plus tard, on apprenait que deux frangins étaient condamnés à Nantes pour des atteintes sexuelles sur un enfant de 4 ans et pour non dénonciation.

    2019-06-16 21_29_43-Nantes

    Rien d'exceptionnel, comparé aux crimes qui défilent dans les tribunaux pour des violences sexuelles graves contre des enfants, si ce n’est que ces deux-là, les frères Philippe et Didier R. (je ne mets pas le nom car leurs enfants, victimes, portent le même), ont déjà été condamnés en 2005 lors du procès du réseau pédophile d’Angers. Et ils ont obtenu un aménagement de peine en 2017.

    Ils n'étaient sortis de prison depuis quelques mois seulement quand l’un d'eux a invité une amie, alcoolique sur les bords, avec son fils de 4 ans, alors que le suivi judiciaire leur interdit tout contact avec des enfants. L’agresseur a pris 10 ans, l’autre 36 mois de prison.

    Alors qu’un grand nombre de psys considèrent que les violences sexuelles sont le crime qui entraîne le moins de récidive (car il se basent sur les chiffres de la justice qui condamne rarement les pédocriminels), la réalité semble transpirer derrière cette histoire : un pédophile agit dès qu’il en a l’occasion, qu’il soit ou non en état de récidive. Car les peines sont loin d’être dissuasives (9 ans en moyenne pour viol, sachant qu’ils sont libérables à la moitié de leur ‘peine’).

    Un peu plus tôt dans l'année, près de 500 enfants ont été entendus suite à l'arrestation d'un pédo de 25 ans à Angers, pour des viols sur ses neveux et sur "des enfants de la région". Le type, doté d'un CAP petite enfance, trainait sur le Dark Net pour rencontrer d'autres pédos et organiser sur ses neveux des actes relevant de la "torture et barbarie".

     

    Le procès d’Angers et les dossiers connexes

    reseau 1

    Le procès du réseau pédophile d’Angers en 2005, c’étaient 65 accusés et 45 enfants victimes, âgés de 6 mois à 12 ans. L’enquête avait été ouverte suite à une plainte déposée en novembre 2000 par une adolescente de 16 ans, pour des faits survenus entre 1991 et 1993 visant les frères Joubert. Les faits incriminés, pour la justice, s’étendaient de janvier 1999 à février 2002.

    A l’origine du réseau qui s'est constitué à Angers, il y avait un pédophile déjà condamné, un certain Eric Joubert, qui fréquentait le coupe V. (Franck et Patricia) depuis sa sortie de prison. Assez vite, les viols des enfants V. puis d'autres enfants de l'entourage deviennent un business, et madame tient la caisse.

    A Angers, trois "pôles" de proxénètes d’enfants ont été identifiés : Eric Joubert et son frère, le couple V (Franck et Patricia), et deux autres frères, Didier et Philippe R., qui viennent donc d’être à nouveau condamnés à Nantes. Il y aussi des auteurs qui n’ont jamais été identifiés, des films qui n’ont jamais été retrouvés, des dossiers qui ont été séparés du dossier principal…

    2019-06-16 21_36_59-[Réseau de pédophilie à Angers] - YouTube - Opera

    Ce sont Eric Joubert, également père de famille, et son frère, que l’adolescente a dénoncés en 2000. A ce moment, Eric venait de purger 2 ans de prison pour des abus sur mineur et était placé sous curatelle, et son frère faisait de son côté 10 ans de prison.

    Plusieurs pédophiles déjà condamnés (une dizaine tout de même) ont été identifiés parmi les abuseurs, ce qui avait à l’époque, vaguement, posé la question du "suivi" des pédocriminels après leur libération. Autant dire qu’il n’y en avait pas, et cela n’a pas changé.

    Une dizaine d’individus parmi les accusés avaient déjà été condamnés pour des faits de pédophilie, comme une certaine Margaret D. amie d’enfance de Franck V., avait été condamnée en 1996 à 2 ans de prison pour des violences sur ses enfants de 4 et 5 ans. Dans l’affaire d’Angers, elle a avoué avoir touché environ 400 F par semaine pour amener son fils chez les V.

    2019-06-16 21_50_34-Le réseau pédophile d'Angers - YouTube - Opera

    Ledit Joubert, en effet, ne perdait pas de temps : "Dès sa sortie de prison en mars 1999, alors qu'il était encore sous contrôle judiciaire, il aurait multiplié les concubinages avec des femmes fragiles, dont les enfants ont été victimes d'abus sexuels"précisait un article du Télégramme du 8 mars 2002.

    On apprenait aussi lors du procès qu’une bonne partie des adultes accusés avaient eux aussi été victimes de violences sexuelles dans l’enfance, souvent par des gens de leur propre famille. Par exemple, le père de Franck V, Philippe, condamné à 13 ans de prison en 1991 (libéré en 1998) pour avoir violé son fils Franck lorsqu’il était adolescent, était l’un des accusés du procès d’Angers pour les viols de ses petits enfants[2]. De même que le beau-père de Patricia V, qui l’aurait violée quand elle avait 6 ans, ou encore Jean-Jacques R., le père des frères R., qui ont été nouveau mis en examen récemment.

    2019-06-16 21_42_58-Le réseau pédophile d'Angers - YouTube - Opera

    Il y a aussi Moïse C., reconnu travailleur handicapé en 1989 et placé sous curatelle depuis 2001, venait d’être condamné lorsque le procès s’est ouvert. Il avait pris 12 ans de prison en 2003, pour des viols sur mineurs, et deux ans pour des agressions sexuelles, toujours sur des enfants, l’année suivante. Sa défense était basique, mais elle s’est avérée efficace ailleurs : il ne connaissait pas le couple V., ni aucun des protagonistes de l’affaire.

    Les accusés vivaient tous des minimas sociaux, excepté un journaliste et une assistante sociale. Et puis, il y avait ces notables : "Des accusés et des enfants décrivent des scènes avec des inconnus cagoulés, identifiés pour certains. Mais pas tous: nul ne sait qui sont les «costards-cravate» ni la «femme tatouée» dont parlent des accusés", précisait L’Express du 28 février 2005.

    2019-06-16 21_48_39-Le réseau pédophile d'Angers - YouTube - Opera

    Il y avait aussi le carnet de Franck V, avec des noms dans toute la France, ce qui est assez étonnant pour un type jamais sorti de son bled. Mais, on n'a jamais entendu parler d'autres procès ailleurs en France, en lien avec l'affaire d'Angers.

    Mais, tout ce volet qu’on pourrait appeler le "second cercle", a été séparé de la procédure qui a été jugée en 2005. Il n’a rien donné par la suite, ce qui n’est pas sans rappeler le fameux "dossier bis" de l’affaire Dutroux, celui qui portait sur les complicités politiques et policières notamment, et qui n’a bien-sûr jamais été jugé. En Belgique où il s’agit d’une véritable spécialité, on appelle cela le "sauciçonnage" des dossiers.

    A l’audience, Franck V. a gardé le silence sur la quasi-totalité des faits, il a refusé de donner les noms des clients, et Patricia s’est en grande partie rétractée, comme l’a fait Badaoui. Sauf que si on a cru Badoui quand elle a "innocenté" ses co-accusés, ce ne fut pas le cas à Angers.

    2019-06-16 22_19_16-Lourdes peines au procès d'Angers - Opera

    Quand il a été demandé à la "comptable  de la bande, Patricia V. (Franck ne savait pas compter), d’où venait l’argent, elle a cité Eric Joubert mais pour le reste, elle a déclaré " je ne peux pas parler…" malgré les nombreuses relances des magistrats et avocats.

    Car des gens cagoulés ont défilé chez elle pour violer ses enfants, et ceux qui lui étaient amenés. Si certains étaient des proches connus des enfants, ce n'était pas le cas de tous ces individus masqués, selon la chef de la section de recherches qui a travaillé sur cette affaire.

    Plusieurs des accusés ont mentionné les "cagoulés", par exemple un certain Georges, a évoqué ces cagoulés qui passaient chez les V., dont un type d’une soixantaine d’années avec un caducée au revers de sa veste. "Véronique R." a dit qu’elle aussi avait vu passer ces types chez les V. Il y avait aussi une femme, habillée de cuir, avec une cagoule en cuir et un tatouage.

    Aucune preuve n’a été trouvée, mais certains accusés ont expliqué qu’une réunion a été organisée avec plusieurs protagonistes, dans le but de brûler toutes les photos et vidéos qui auraient pu être dérangeantes. Et quand les policiers ont tenté de perquisitionner un garage appartenant à Philippe V., celui-ci avait été fracturé et vidé.

    Une quinzaine de lieux de débauche auraient été identifiés par les enquêteurs, aux domiciles des accusés notamment.

    2019-06-16 21_37_37-[Réseau de pédophilie à Angers] - YouTube - Opera

    Mais, comme dans l’affaire d’Outreau, aucune photo ni aucun film pédoporno n’ont été retrouvés.

    Comme à Outreau, aucune rupture d’hymen n’aurait été identifiée chez les filles, ce qui n’est pas surprenant mais révèle juste que déjà à l’époque, les pédos savaient comment s’y prendre pour éviter de laisser des traces trop identifiables.

    Comme à Outreau, c’est la femme la plus impliquée, en l’occurrence Patricia V., qui a confirmé les accusations et balancé le réseau, du moins une partie.

    Comme à Outreau, les services sociaux suivaient la plupart des familles. Et selon le Christian Gillet, vice-président du conseil général chargé des affaires sociales "Dans la majorité des cas, il y a eu des signalements pour carences éducatives. Et quelques-uns pour suspicion d'abus sexuels". Plusieurs signalements ont été faits en 1999 et 2000, par l’école et la mère d’une des victimes, mais aucun n’a abouti bien que plusieurs pédophiles connus et même encore suivis[3] trainaient dans l’entourage des victimes.

    Eric J

    Comme à Outreau, les enfants étaient à peine défendus, avec un avocat pour 42 enfants, face à une soixantaine d’avocats pour les accusés.

    Mais contrairement à Outreau, un tiers des accusés -au moins- ont avoué les faits qui leur étaient reprochés, même s'ils se sont souvent rétractés ensuite.

    On constate qu’une première famille qui se met à vendre ses enfants inspire vite ses voisins, qui eux aussi veulent quelques billets. Patricia V a dit qu’ils récupéraient ainsi 1000 à 2000 F par semaine, pendant plus d’un an. Selon elle, ils n’ont pas tout de suite touché de l’argent, cela a commencé après quelques mois d’abus dans un cercle plus « confidentiel ».

    Il s’agit de sommes assez importantes si on considère, comme le fait la justice, que la quasi-totalité des coupables vivaient du RMI et des allocations adulte handicapé.

    61 personnes ont été condamnées en première instance, et à l’issue du procès en appel, le journaliste a été acquitté. 45 mineurs ont été reconnus victimes et indemnisés.

    Ledit réseau d’Angers, bien qu’impliquant des gens qui n’avaient pas les moyens de se déplacer très loin, dépassait les limites du département.

    2019-06-16 22_25_13-Pédophilie _ huit mises en examen en Mayenne - Opera

    Ainsi en 2005, quatre des condamnés d’Angers –dont Franck V.- ont été mis en examen dans un autre dossier, en Mayenne, qui s’orientait "vers un réseau organisé" et qui a fait un peu de remous.

    Si cette affaire avait fait l'objet d'une enquête, c'est à la suite de la dénonciation d'un informateur : "Cette seconde enquête a débuté sur la base d'une dénonciation adressée à la PJ d'Angers pendant que tous les médias couvraient l'audience en cours dans la ville. L'interlocuteur de la police judiciaire a expliqué en substance qu'il manquait des accusés dans la salle d'assises et a livré les noms des « absents », les nouveaux suspects. Les faits dénoncés se déroulant dans le secteur de Château-Gontier, en Mayenne"rapportait Le Parisien du 23 avril 2005.

    Ils ont été jugés en appel à Laval 2010, pour "agressions sexuelles et de viols en réunion sur sept victimes, dont deux fillettes âgées de 1 et 6 ans à l'époque des faits", en huis clos à la demande de deux des accusés, qui étaient aussi des victimes dans ce même dossier.

    2019-06-16 21_53_21-Le réseau pédophile d'Angers - YouTube - Opera

    Les enfants (il avait entre 8 et 10 victimes) avaient entre 5 et 15 ans, et la période des faits était bien plus longue que pour Angers, puisqu’elle commençait en 1995 pour s’achever en 2002. Par ailleurs, grâce à l’argent des viols, le couple V. s’est payé trois semaines de vacances en Mayenne, ce qui est un choix de villégiature original dans cette région fort riche en termes de sites touristiques.

    Le bilan de cette affaire, sur l

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    DOMI/DOMINO
    Dimanche 23 Juin 2019 à 01:29

    Ces "religions à mystères", semblent, par le truchement des nouvelles technologies, ouvertes aux "profanes" afin de gagner un maximum d'âmes......

    Elles ont actuellement pignon sur rue :

    - Loges maçonniques, rosicruciennes, issues et présentant surtout un mysticisme issu de la magie et de l'alchimie de la Grèce Antique, du Mysticisme Juif, Egyptien et Hindou ; 

    - celles issues du spiritisme appelées aujourd'hui channeling,

    - "Nouvel Age" regroupe sous cette appellation toutes les pratiques consistant à vouloir développer les capacités psychiques faussement spirituelles, puisque l'homme doit se hisser par lui-même au niveau de Dieu puisqu'il serait DIeu !!!???.

    Des "stars" du domaine artistique, public, sont aujourd'hui leurs porte-étendard car le public "touché" est bien plus vaste et varié.

    La gnose, connaissance mystique, se doit d'être "révélée", d'où les "initiations" qui permettent à l'homme d'accéder et de s'approprier le Mystère Divin. L'initié est donc passé de l'ignorance à la connaissance intérieure/illumination ainsi qu'à la connaissance de soi/Soi.

    Par quelles pratiques ? eh bien douleurs physiques et morales, plaisirs sexuels tels que tantrisme et orgies, terreurs oû le danger de mort est imminent, à des degrés tels, que la psyché humaine s'en trouve brisée et profondément transformée. Le bien devient le mal et le mal devient le bien, jusqu'à ce que disparaisse cette conscience du bien et du mal, pour arriver au  : "fait ce que tu veux comme tu le veux quand tu veux" !!! .

    La reproduction des moyens subits devient continuité, par reproduction volontaire ou involontaire.

    Ainsi, ces "religions" antiques sont arrivées jusqu'à nos jours et nous pouvons hélas, en constater les effets et les dégâts sur la société, à tous les niveaux, dans tous les domaines et surtout SUR L INNOCENCE : L ENFANT !

    Actes 4 :
    11  Jésus est La pierre rejetée par vous qui bâtissez, Et qui est devenue la principale de l'angle. 12 Il n'y a de salut en aucun autre; car il n'y a sous le ciel aucun autre Nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés.
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    Storm
    Lundi 24 Juin 2019 à 15:41

    Pas convaincu. Le culte de Dionysos c'est plus ou moins du libertinage dans une société déjà plus ouverte qu'elle le fut plus tard...

    Et sacrifier des animaux était la norme durant la Rome Antique... Il y a un monde entre ça et le reste.

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